La guerre de Gaza de 2008-2009, ou opération "Plomb durci" est une brutal opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, qui débuta le 27 décembre 2008
Le niveau élevé de violence chez les enfants et les jeunes est dû à diverses causes. D'une manière générale, on peut parler d'un climat exacerbé de violence sociale, en particulier celle pratiquée par l'État dans les domaines de l'économie, du travail, de la politique et de la culture
Entre la résistance héroïque du ghetto de Gaza (en cours) et le soulèvement héroïque du ghetto de Varsovie (avril/mai 1943), se trouve, indompté, le droit du peuple à la rébellion.
En l’absence de définition conventionnelle, la notion de «complicité de génocide » a soulevé des difficultés et divergences
d’interprétation au sein de la jurisprudence des deux tribunaux pénaux internationaux (TPI)
La progression de l’extrême droite, y compris dans les "grandes démocraties occidentales" avec leur aile fasciste, où des milices organisées pratiquant la violence sont impliquées, n'est pas un phénomène passager. Le facteur aggravant est que la variante la plus réactionnaire recueille le consensus d'une grande partie de la population
Endettement, militarisation, vol, marché noir, trafic d’armes, opacité sans responsabilité, financement et préparation aux conflits se retrouvent dans cette UE Von der Leyen qui n’est pas sans rappeler l’époque d’avant Guillermina.
Un quart de siècle après ce qui fut appelé l’opération Allied Force contre la Yougoslavie, l’ordre international recule au profit d’une course aux armements menée par les États-Unis mais également suivie par d’autres puissances mondiales.
Cette campagne a eu lieu du 5 au 11 mars 2024, à l'ONU à l’occasion de la 55e session du Conseil des droits de l’homme (CoDH) à Genève. Au cours de la semaine, les organisations précitées ont levé la voix contre le génocide israélien et ses répercussions sur les luttes pour la terre et la souveraineté alimentaire
Si l'État d'Israël viole les droits fondamentaux du peuple palestinien depuis 1948, il peut le faire sous la protection et le soutien logistique des États-Unis et d'autres États.
Le projet de résolution américain, auquel la Chine, la Russie et l'Algérie ont opposé leur veto, manifestement inopérant, était un piège destiné à assurer la poursuite du génocide à Gaza et en Cisjordanie.