Selon Jean-François Di Meglio, le président du think tank Asia Center, le ralentissement chinois serait fatal mais bien géré. Selon les prévisions du gouvernement chinois, tout va bien : la croissance devrait atteindre 6.5% en 2016. Mais que dit l'économie chinoise lorsque l'on y regarde de plus près?
Comme on pouvait s’y attendre, le directeur de la Banque du Japon (BoJ) Haruhiko Kuroda a annoncé hier (le 17 novembre) que celle-ci abandonnait l’objectif d’inflation de 2% jusqu’à la fin de son ‘’quinquennat’’ se terminant en avril 2018.
Malgré les tentatives hasardeuses de revitalisation de l’économie de la part du gouvernement japonais, l’activité demeure haletante. La croissance du produit intérieur brut est quasi nulle, la consommation des ménages stagne, les fermetures et faillites dans le secteur de la distribution inquiètent. Comment comprendre cette tendance de l’économie japonaise ? Quelles sont les issues possibles?
Pour la première fois en cinq ans, le Ministère des Finances japonais a annoncé que la balance commerciale, c’est-à-dire le montant total des exportations moins celui des importations, revenait dans le vert. Mais que se cache-t-il derrière cette apparente embellie ? Est-ce que l’économie japonaise se porte véritablement mieux ?
Dans tous les pays de l’O.C.D.E., les données du chômage font sporadiquement l’objet de controverses relatives à l’évaluation de son ampleur et la véracité des chiffres fournis. Nous présentons brièvement ici la situation en France, en Allemagne et aux Etats-Unis pour montrer la complexité du sujet, qui constitue inévitablement une source de tentation pour le pouvoir politique.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.