Blog suivi par 29 abonnés
Construire ensemble la démocratie africaine pour le développement endogène et l'émancipation des peuples.
-
Promouvoir le changement social en Afrique par les réseaux sociaux.1/1
La fonction sociale des réseaux et les médias sociaux de l’internet, consiste-elle uniquement à offrir au public un espace d’entre soi, de divertissement et de partage de contenus privés ? Leur dimension ludique ne recouvre-t-elle une capacité à promouvoir le dialogue interculturel, le progrès social et politique en Afrique subsaharienne? -
Les mouvements sociaux et l’émergence dans les pays démocratiques d’Afrique.2/2
La démocratie donne au système politique « un rôle de médiation entre les acteurs sociaux et entre ceux-ci et l’Etat qui maintient ensemble les composantes du développement » écrit Alain Touraine. Le développement endogène procède de la « gestion politique des tensions entre l’investissement économique et la participation sociale". -
Les mouvements sociaux et l’émergence dans les pays démocratiques d’Afrique. 1/1
En démocratie libérale, les mouvements sociaux ne visent pas à renverser l’État pour transformer son régime politique. De nature essentiellement revendicatrice, ils sont économiquement et socialement motivés. Les acteurs sociaux et les acteurs économiques manifestent en démocratie pour revendiquer des droits et pour défendre des intérêts légitimes. -
L'ultime leçon de Barack Obama. 2ème Partie
Au delà de la contrainte externe du Droit et de la crainte extérieure de l'épée de la Justice, la victoire de chacun sur soi-même dans le combat interne de la vertu est la condition du respect des principes de la Démocratie et de la République. -
L’ultime leçon de Barack Obama. 1ère Partie.
Quitter la scène du Pouvoir dans la plaisanterie et l'humour, organiser sa sortie sous un mode comique en se moquant de soi-même au terme du mandat présidentiel en démocratie, c'est la leçon du démocrate Barack Obama aux chefs d’États africains, démocrates prétendus, qui refusent pourtant de céder le pouvoir et qui manipulent la constitution pour le conserver au prix des pires brutalités. -
Traite négrière : La responsabilité et l'historicité des Africains
La traite négrière débute en Afrique quatre siècles avant la colonisation. Sur la côte atlantique de l’Afrique, les premières transactions entre les explorateurs portugais et les chefs africains datent de 1442. Les royautés et les aristocraties militaires maîtresses du continent, commercent librement avec les blancs dans un partenariat égalitaire fondé sur la réciprocité des intérêts. -
L’élection des despotes africains est-elle un progrès de la démocratie?
En Afrique Noire, le temps est à l’élection au suffrage universel des despotes en qualité de garants sécuritaires du nouvel ordre économique et géostratégique. L’épouvantail djihado- terroriste s’est substitué à l’épouvantail de la révolution communiste qui fit les beaux jours des despotes africains du temps de la guerre froide. L’élection des despotes africains pose problème. -
Laurent Gbagbo fut-il un démocrate ? 2ème partie
Laurent Gbagbo n’a pas combattu pour ouvrir la Côte d’Ivoire au multipartisme afin d’instaurer la démocratie en faisant des trois principes cardinaux de ce régime les maximes suprêmes du pouvoir d’Etat et les lois de la politique en Afrique. Adepte du léninisme-stalinien et du nationalisme ethnique, sa conversion à la démocratie fut de nature opportuniste et tactique autant que stratégique. -
Laurent Gbagbo fut-il un démocrate ? 1ère partie
Devant les juges de la Cour Pénale Internationale en Février 2013, Laurent Gbagbo avait répété sa profession de foi de démocrate pour contester son inculpation : "Toute ma vie, j’ai lutté pour la démocratie." avait-il déclaré. Faut-il croire Laurent Gbagbo? Laurent Gbagbo est-il un démocrate comme il le soutient ? Le nationalisme ethnique qui fut le sien est-il compatible avec la démocratie? -
La tradition africaine condamne l’absolutisme du pouvoir.
Le panorama critique de l’expérience démocratique africaine, après un quart de siècle, dessine une image précise : sous la pression populaire, les pouvoirs en place consentent, bon gré mal gré, à accepter de manière formelle le principe de l’élection. La limitation du pouvoir et l’alternance démocratique continuent néanmoins d’être rejetées.
- Page précédente
- 1
- …
- 13
- 14
- 15
- 16
- 17
- …
- 29
- Page suivante