Le sénateur communiste Pierre Laurent, le député communiste Bernard Lecoq, le premier secrétaire du PS Olivier Olivier Faure pour ne citer qu'eux se sont distingués dans cette ingérence en Côte d'Ivoire aux côtés des forces de l'extrême-droite identitaire ivoirienne spécialisées dans la manipulation de l'identité ethnique et confessionnelle contre la République et la démocratie.
La coupable vision binaire des Occidentaux ( notamment d'une certaine élite Française) sur la problématique démocratique en Afrique: une grille de lecture simplificatrice datant de l'époque de la guerre froide et qui biaise la problématique politique africaine dans le nouveau régime de démocratie pluraliste
Je souligne pour commencer qu'au terme de l'élection présidentielle du 31 octobre 2020 dont la RÉGULARITÉ et la TRANSPARENCE furent ÉTABLIES et RECONNUES par la CEDEAO et par divers organismes internationaux de surveillance du processus électoral,
La problématique de la conquête de l'Indépendance réelle dans les États multi-ethniques postcoloniaux d'Afrique, après la conquête de l'indépendance politique, ne fut rien d'autre qu'une problématique de transformation des structures, des rapports de production, des formes sociales et politiques.C'est toujours par cette médiation qu'un pays économiquement dépendant
Comment expliquer l'étrange mansuétude d'une certaine partie de presse française à l'égard de la plate forme ethno-nationaliste FPI-Gbagbo, PDCI-Bédié, RACI-GPS Soro ?
L'étrange mansuétude d'une certaine partie de la presse française à l'égard de l'opposition ivoirienne malgré ses déficiences notoires et son incapacité évidente à se définir comme opposition constructive