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Construire ensemble la démocratie africaine pour le développement endogène et l'émancipation des peuples.
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La destitution constitutionnelle des gouvernants, substance de la démocratie?
La procédure de destitution constitutionnelle, ouverte contre Jacob Zuma en Afrique du Sud et contre Dilma Roussef au Brésil, pour corruption serait-elle l’expression la plus substantielle du pouvoir du peuple ? Au moment où l’Afrique Noire cherche péniblement son chemin dans la démocratie, ces deux évènements portent un message. -
L’ostentation des dirigeants africains, frein à la démocratie libérale. 1ère partie.
La propension d’un grand nombre de dirigeants politiques africains à accumuler des biens de luxe au détriment du bien public, est l’emblème d’une gouvernance calamiteuse qui heurte autant la rationalité politique et économique que la morale. Cette ostentation politique qui est une arme d'influence et de domination, doit être politiquement, économiquement et socialement délégitimée. -
Contre Aqmi, l’indispensable alliance du droit et de la force en Afrique Noire.
Le terrorisme africain résulte de la conjonction de deux violences historiques internes. Il résulte de la concentration de la violence des rebellions et des mouvements séparatistes nés des dictatures. L’affrontement politique des élites, dont certains n’hésitent pas à instrumentaliser le terrorisme djihadiste, a accentué cette violence. -
Combattre AQMI avec les valeurs de la République, des Cultures et des Confessions.
AQMI, Daech Al Qaeda sont des égrégores nés de notre liberté dévoyée, de nos démissions et de nos abdications.Nos armes les plus efficaces pour les combattre ne peuvent donc être que des armes culturelles, économiques, politiques, spirituelles et morales. -
Comment empêcher en CI la répétition de l’odieuse agression terroriste de Grd-Bassam
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La présidentielle Béninoise est une leçon.
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Quelle est la cause de la violence politique en Afrique et comment en finir ? 1ère partie
L’image générale de la politique africaine induite de l’expérience des élections africaines contemporaines à l’ère de la démocratie est celle de la violence, de l'arbitraire et de la puissance de l'argent. Réduite à une compétition entre milliardaires, la dernière présidentielle béninoise illustre ce dévoiement de la jeune démocratie africaine par la violence de l’argent. Comment en finir? -
Les conceptions anti-démocratiques du pouvoir, du gouvernement et du peuple en Afrique.
Quand un parti ou un acteur politique se représente le pouvoir démocratique comme une propriété individuelle, et non pas comme une propriété collective, comme la propriété inaliénable du peuple, il le considère comme un bien dont il faut s’approprier personnellement. En Afrique cette conception patrimoniale de la politique est la raison explicative de la gestion antidémocratique du pouvoir. -
Représentations mentales antidémocratiques et politiques calamiteuses en Afrique.
Les représentations mentales antidémocratiques des acteurs politiques africains déterminent les politiques antidémocratiques qu’ils mènent. Leurs manières de concevoir le pouvoir, le gouvernement et le peuple expliquent leurs manières de gérer le pouvoir et de gouverner. Ces représentations librement formées commandent les choix délibérés qu’ils opèrent à la tête des États. -
Le procès Gbagbo et le procès Habré. Une concomitance pleine d’enseignements.
La concomitance du procès Habré et du procès Gbagbo symbolise une Afrique qui progresse, en luttant contre elle-même, pour surmonter la déchirure interne qui entrave son historicité. Ce double procès dessine le nouveau visage de la nouvelle Afrique qui est en train de construire son unité politique dans le consensus sur la limitation du pouvoir par les droits humains et la limitation du pouvoir.
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