Amalric: Je suis aveuglé comme par un coup de fusil ! Ce n'est plus du soleil, cela !De Ciz: C'est la foudre ! Comme on se sent réduit et consumé dans ce four à réverbère ! Amalric: Tout est horriblement1…
pur. Entre la lumière et le miroir. On se sent horriblement visible comme un pou entre deux lames de verre. ("Partage de midi", P. Claudel, act 1 scène 1)
La rascasse pleure.La sole s'effondre.Le bar déprime.Le homard fait l'autruche.La langouste s'est mise à boire.La langoustine se pique.Le congre se mord la queue.
Beaucoup disent ou vont dire que l'argent des contribuables fait le bonheur des managers gonflés et gonfleurs de bilan, amateurs de stock options et de revenus délirants avec parachutes dorés. OK! c'est vrai.
On peut donc dire à la télévision que la récession est technique et la croissance négative.Est-ce du toupet, du foutage de g... ou de la suffisante stupidité?
On peut parler de ce que l'on veut.On dira ce que l'on voudra, comme pour Napoléon et Louis Arsmtrong, je me demande pourquoi il est mort Louis de Funès?
Ce n’est qu’un gamin qui passe dans la rue et poursuit son copain qui a dû lui chaparder quelque chose et qui hurle après lui un « mais ce mec est un juif, un sale français ».'Je me retourne et lui demande à qui il s’adresse. « C’est pas pour vous », il me fait, puis il se met à courir en direction de son pote, collégien comme lui, le même qu’il venait d’insulter en le traitant de juif et de sale français. Je me rends compte de la stupidité de ma question. J’aurais dû dire "mais ça va pas non ! » Sans doute voulais-je dialoguer, faire du prêchi-prêcha, moralisant.
Ce vendredi 11 juillet, mon collègue s'apprêtait à partir. "Mon grand-père qui me l'a donné" il m’a répondu."Merci." J'ai dit.On s'est regardé. Il s'est rassis.On est resté en silence longtemps. "
Ça a été une vraie surprise. Personne ne s’y attendait.Personne, c’est-à-dire nous, les spectateurs, les pétitionnaires de base, les citoyens lambda. Mais cet événement assez considérable questionne.
En 1991, touriste au Rwanda et au Zaïre, je rencontrai avec ma compagne, une sorte de sous-préfet de l'aujourd’hui Congo démocratique. De bus en taxicos, nous étions sur les traces des gorilles