-
L’exécutif malien doit trouver le point d’équilibre entre la lutte contre le narcoterrorisme et la marche progressive vers le retour à un pouvoir civil.
-
En décembre dernier, la notion d’engagement était au cœur du décryptage. Pour ce début d’année 2023, espérons essentiellement la sécurité et la paix pour le Mali et le Monde.
-
Au Burkina-Faso, au Mali ou au Niger, l’Etat s’écroule sous le poids des massacres, des séquestrations, des humiliations et des traumatismes.
-
Des partis politiques aux associations de la société civile, chaque camp, chaque groupe tente d’avoir les bonnes grâces du Colonel Assimi Goïta, Président du CNSP. Négligeant au passage les défis éducatifs, politiques, sécuritaires, sociaux, etc., dans un contexte de crises : sécuritaire, politique et sanitaire.
-
A chaque crise au Mali – novembre 1968, mars 1991, mars 2012, août 2020 - l’exécutif est balayé par un « soulèvement opéré par un clan militaire pour s’emparer du pouvoir par la force », ce qu’on appelle communément un putsch militaire.
-
Au Mali, le pouvoir politique pêche par ses rapports ambigus avec le religieux, le militaire et le traditionnel.
-
Il est nécessaire de diviser le Mali en circonscriptions également peuplées, quantitativement parlant. La question du vote obligatoire doit être aussi traitée (voire ouvrage Marchands d’Angoisse, le Mali tel qu’il est, tel qu’il pourrait être, 2019).
-
Au Sahel, Face à cette déferlante, les pouvoirs publics ont traîné le pas. Ce virus n’allait pas résister à la chaleur, les populations sont habituées aux maladies, tous les arguments étaient bons pour dénier l’arrivée de la pandémie au Mali.
-
Le Covid-19 remet à jour la fragilité des systèmes de santé des Etats-Nations, et soulève les difficultés de l’OMS à gérer les crises sanitaires émergentes.
-
Portfolio
Ce livre, Marchands d'Angoisse - le Mali tel qu'il est, tel qu'il devrait être, porte sur les injustices prégnantes, l'angoisse de la pensée unique, celle de la pression sociale, celle d’un État dominant et écrasant...
Une des solutions, c’est que le Mali doit penser son futur en termes de développement des libertés, de justice et d’un droit au bonheur pour tous.