Avoir une belle et bonne vie devrait constituer un préalable à tout débat sur la fin de vie et il me semble que c'est un sujet essentiellement politique. Qui peut croire en effet qu’il est réaliste de1…
conjuguer « vie bonne et belle » et maltraitance sociale, sanitaire et environnementale, les trois étant souvent conjuguées ?
Les débats qui ont eu lieu et qui se poursuivent autour du projet de loi « Fin de vie » suscitent quelques réactions, parfois assez radicales, de la part des opposants au droit à mourir.
Voilà déjà quatre ans, mon épouse a décidé de mettre fin à ce qu’elle considérait comme n’incarnant plus la vie telle qu’elle la concevait. Sur ce plan nous étions raccord et le libre choix de décider sereinement de la fin, dignement et en douceur, nous est toujours apparu comme une évidence.
Voilà quelques mois qu'on annonce la mort du TAFTA. Il semble en effet que l'on soit proche de l'arrêt définitif des négociations pour cet accord-là. Mais, car il y a un «mais», que les détracteurs de cet accord ne se réjouissent pas trop vite, car il reste le CETA, de moins en moins tapi dans l'ombre et qui devrait être mis en application provisoire dès 2017.
Par André Smolarz
| 96 commentaires
| 25 recommandés
Le 30 mars dernier, au soir du second tour des départementales, un message de la revue « Démocratie et Socialisme » tombe dans ma boîte à lettres électronique. L’objet de ce message concerne une contribution en vue du congrès du PS de Poitiers que Gérard Filoche m’invite à lire et signer. Le texte de cette contribution est intitulé « Sauver le Parti Socialiste ! Redistribuer les richesses d’abord ».