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Le blog de Antoine Bevort

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Forces et faiblesses des communautés politiques sur Twitter selon le "Politoscope".
À partir de Twitter, le Politoscope de l’ISC-PIF, laboratoire CNRS, met en évidence la façon dont se structurent et se mobilisent les communautés politiques dans la campagne présidentielle. Analysant une masse de données depuis août 2016, la plateforme jette une lumière crue sur la façon dont la gauche a perdu des batailles idéologiques et culturelles sur nombre de ses thématiques traditionnelles. -
Présences et absences des acteurs politiques français sur Facebook, Twitter et le Web
L’arène numérique est devenue le lieu privilégié du débat politique. Les candidats à l’élection présidentielle l’ont compris, mais les partis négligent cette nouvelle donne et laissent pour ainsi dire le champ libre à l’extrême droite dans l’arène numérique. C'est un des nombreux signes de la coupure de la gauche avec la population dont 86 % a accès à internet. -
Le PVV - le parti qui n’a qu’un seul membre : Geert Wilders.
Le PVV est un parti néerlandais un peu singulier. Le parti pour la liberté, (Partij voor de Vrijheid) a été créé en 2005 sous le nom « Association Groupe Wilders » par Geert Wilders, un député qui avait quitté le VVD, le parti libéral, un an auparavant. Le PVV ne compte qu'un seul membre : Geert Wilders. -
Alain de Benoist, Alain Soral, Étienne Chouard : le "bon", la "brute" et le "truand".
Le confusionnisme politique désigne une rhétorique d’extrême droite qui emprunte des thèmes appartenant a priori au bord opposé du champ politique pour masquer un projet qui reste fondamentalement d’extrême droite. Le « bon » Alain de Benoist, la « brute » Alain Soral et le « truand » Étienne Chouard peuvent être considérés comme les idéologues centraux de la pensée d’extrême droite confusionniste -
Impact des principaux candidats à la présidentielle dans l’arène numérique
Par rapport aux spéculations hasardeuses des instituts de sondages sur le classement des candidats à la présidentielle, leur audience sur le web et leur impact sur les réseaux sociaux sont des indicateurs précieux pour mesurer l’évolution de l’opinion politique. Ce billet décrit l’état actuel des données numériques pour les cinq principaux candidats. -
Primaire socialiste: sondages, web et réseaux sociaux
Les médias et instituts de sondage sont devenus prudents et avouent que le résultat de la primaire est difficilement prévisible. Néanmoins, les médias continuent à publier des sondages et à désigner Valls comme favori. Les données numériques sur l’audience des sites et l’impact de la communication sur les réseaux sociaux font une mesure fort différente de l’intérêt pour les candidats. -
Primaire socialiste: Benoît Hamon domine l’arène numérique
Benoît Hamon est le candidat de la primaire socialiste dont le site et la communication sur les réseaux sociaux suscitent le plus d’intérêt parmi les internautes. Alors qu’il occupe depuis plusieurs semaines la tête du classement pour les visites de son site, il domine également la primaire par le nombre des interactions suscitées par sa communication numérique sur Facebook, Twitter et YouTube. -
La primaire du parti socialiste en mal d’audience sur le web et les réseaux sociaux
Les candidats à la primaire du parti socialiste disposent de moins de trois semaines de campagne avant les votes les 22 et 29 janvier 2017. L’audience de leurs sites et leur présence sur les réseaux sociaux montrent que la mobilisation des internautes est faible. L’activité de communication numérique des candidats est cependant également plutôt timide ce qui est assez étonnant. -
Audience comparée des mouvements et personnalités politiques sur les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux sont une scène privilégiée du débat politique. Le social media monitoring permet une mesure de l'influence des différents acteurs sur ces réseaux. Les données de Semrush permettent ainsi de classer les mouvements et personnalités politiques en fonction de leur importance sur les social media.
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