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Clarté à gauche pour (com)battre la droite et l'extrême droite

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Du danger "fasciste" et de l'erreur de voter Macron...
Lors du débat de mercredi, pour Macron il n'y avait rien à ajouter et beaucoup à perdre à en rajouter sur ce qu'une partie de la gauche faisait si bien... en appelant à voter pour lui contre la "fasciste", dans une logique de barrage lui permettant d'en rester à son refus d'en appeler au classique "front républicain antifasciste" regroupant droites et parties de la gauche. -
Voter Macron le "fascisateur" pour faire barrage à la "fasciste" Le Pen ?
Si le Macron 1 de 2017, ni de droite, ni de gauche, a pu transmuter en un clin d'oeil Macron 2 fascisant/fascisateur, pourquoi se priverait-il de faire en sorte que Macron 3 ne fasse pas...allez je vais lâcher le grand mot, PIRE que le Macron 2 ? Ce pire le rapprochant de ce que Marine le Pen a de pire et surtout NOUS rapprochant de ce pire lepéniste. -
Le fascisme à nos portes ? Petit retour sur l’Allemagne des années 30
Macron n’est pas Hindenburg mais cette évidence ne devrait pas servir à sous-estimer le choix politique désastreux qui permettrait au premier de bénéficier, sans que les modalités de ce bénéfice soient les mêmes, de l’irresponsabilité à gauche qui a amené, en son temps, le second à commettre le méfait historique de servir de rampe de lancement de l’hitlérisme. -
Votants de Mélenchon, encore un effort ...
Il serait bon que la déception compréhensible de ceux qui ont cru en cette démarche insoumise refuse l'intoxication du ressentiment et de la chasse au bouc émissaire et, ainsi, se réoxygène à la réflexion politique raisonnablement critique mais aussi autocritique. Histoire de donner corps à l'antifascisme anticapitaliste dont nous aurons besoin après le second tour ! -
De la déraison de « voter utile » pour Mélenchon au premier tour…
Mélenchon reprend l’argument qui, de proche en proche, a amené la gauche mitterrandienne à dévaluer toute idée de gauche, l’argument du « vote utile » qui a fait la preuve qu’il revient à donner crédit politique au pire. Comment croire que par ce vote il soit possible de s’engager dans le chemin inverse, celui de la reconstitution d’une gauche retrouvant les moyens d’une politique du meilleur ? -
La crise des gauches face au « solutionnisme techno-sécuritaire » en cours
La crise pandémique a mis en évidence, en l'aggravant, la terrible régression politique des gauches qui, face aux mesures sanitaires du gouvernement attentatoires aux libertés, offrent le spectacle sidérant de leur tétanisation face à des mobilisations de rue qu'elles n'ont de cesse de disqualifier comme "perdues" au profit de l'extrême droite, entérinant ainsi leur propre immobilisme suicidaire. -
"Convois de la liberté" canadiens et Gauche Canada Dry (GCD)
Au Canada comme en France, on parle beaucoup des "convois de la liberté" au Canada qui bloquent Québec. Comme lors des mobilisations de l'été 2021 en France, sauf exception très minoritaire, aucune position de gauche ne parvient à sortir du primitivisme analytique posant que, puisque l'extrême droite est à la manoeuvre dans ces manifestations, le mouvement en lui-même serait extrême-droitisé. -
Marianne et Caroline Fourest, ça coince !
La levée de bouclier de la société des rédacteurs de Marianne contre C Fourest qui y tient chronique s'apparente à un jeu de dupes si l'on s'en tient à l'écume de la polémique : la préface de celle-ci à une enquête sur Soral et son groupuscule, dont un journaliste de l'hebdo a révélé qu'elle avait été bidonnée au grand dam de la dame. Sa tentative d'empêcher l'enquête a mis le feu aux poudres. -
Ouïghours. Mélenchon et ses indécentes chinoiseries
L'international rattrape le chef insoumis au lancement de sa campagne. Le Grand Bond électoral espéré se voit perturbé par une prise de position hallucinante sur la tragédie des Ouïghours. Contre l'idée d'un génocide, Mélenchon valide la parole chinoise : on ne réprime au Xinjiang que les islamistes. Un Grand Bond en arrière qui nous rappelle la Syrie.