Quelques billets, quelques notes, pour partager mes interrogations, mes convictions et mes coups de sympathie, d'empathie ou d'indignation ! [sous le regard interrogateur de Mafalda sur le "monde", selon1…
Quino!] Ici l'image d'O Ardina à Porto, vendeur de journaux à la criée très populaire dans les villes de Lisbonne et Porto dans les années 50/60!
Depuis 10 ans que le Théâtre de l'Opprimé ouvre, dans un Festival, ses portes au monde, avec deux semaines de MigraActions. Il s'agit «de célébrer la liberté de migration des formes, des identités, des générations. Culture en mouvement, en action, provenant d’une pluralité d’horizons artistiques. Dix ans déjà et toujours pas assez».
Comment une entreprise en bonne marche, familiale, à taille humaine, attire grâce à ses bons résultats les appétits des prédateurs à l’affût des affaires rentables pour les désosser et enrichir l'investisseur décomplexé? C'est à quoi il nous invite Robin Renucci avec L'avaleur, aux Métallos, jusqu'au 18 février. À voir d'urgence!
Établir des ponts entre le cinéma et le monde géopolitique. Faire connaître, découvrir, partager ce que le cinéma donne voir sur le Monde qui nous entoure et dont nous sommes. C'est chaque fois l'engagement do Forum des Images et pour cette huitième édition, la marraine c'est Christiane Taubira. Le cinéma nous apprend, nous confronte et nous engage à être plus que spectateur.
C'est la 10ème édition du festival Ciné Regards Africains. Pour "promouvoir les films venus d’Afrique et participer ainsi au développement de leur production; faire connaître des œuvres de réalisateurs talentueux, peu distribuées dans les salles et trop souvent confidentielles". Allons y les voir à Arcueil, Cachan, Fresnes, L’Haÿ-les-Roses et Villejuif, quatre communes du Val de Marne.
C'est une opportune analyse, le livre d'Alberto da Silva, «Genre et dictature dans le cinéma brésilien», éditions Hispaniques, qui sera présenté par l'auteur le mercredi 1er juin à Lusofolie's à Paris. L'histoire croisée du Brésil et de son cinéma, avec une abondante recherche filmographique couvrant toute la période de la dictature militaire.
«...No hay camino, se hace camino al andar...» [Il n'y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant]. Cet extrait du beau poème d'Antonio Machado, pourrait être le fil conducteur du livre «Exilios», témoignages d’exilés et déserteurs portugais en Europe dans la période de 1961/74, sous le régime de Salazar et qui sera présenté à Paris le 21 mai 2016.
Ce sont des images d'Afrique, de l'Angola qui sont présentées à Lusophopolie's dans une exposition de photographies de Mauricio Vieira, photographe brésilien. Quand on parle de l'Angola et on voit des images le thème c'est la guerre, tant ce jeune pays en a vu et en a souffert. Cette fois-ci, c'est un autre regard, plus distancé, plus profond qui nous attache aussi à cette découverte.
Création théâtrale, écrite et mise en scène par Marie-Madeleine Raymond à partir de témoignages de personnes âgées au Pré Saint Gervais et à Pantin en Seine St Denis (93). Ce sont leurs paroles, parfois leurs voix, les chansons qui les ont marquées, les sons de leur environnement. Leurs métiers, leurs histoires de vie, leurs mémoires et ce que l'on transmet... avec tendresse, humour et poésie!
L'immigration fait débat et après la sortie du livre Mémoires dangereuses, un historien et un écrivain, Benjamin Stora et Alexis Jenni approfondissent l'histoire qui nourrit nos mémoires. Une opportunité pour réfléchir aux effets de ce passé colonial qui reste ancré dans les têtes de ceux qui n'ont jamais accepté l'indépendance de l'Algèrie et ceux qui ont souffert dans leur peau ses effets.