Quelques billets, quelques notes, pour partager mes interrogations, mes convictions et mes coups de sympathie, d'empathie ou d'indignation ! [sous le regard interrogateur de Mafalda sur le "monde", selon1…
Quino!] Ici l'image d'O Ardina à Porto, vendeur de journaux à la criée très populaire dans les villes de Lisbonne et Porto dans les années 50/60!
Le Festival des Solidarités, rendez-vous depuis 20 ans pour promouvoir et célébrer une solidarité ouverte au monde et aux autres. Chaque année en nov., des associations, groupes de citoyen.ne.s, etc. organisent partout des animations conviviales et engagées pour un monde juste, solidaire et durable. Dans le Val-de-Marne aussi, notamment sur ‘‘l’autonomisation des Femmes en Éthiopie’’
‘‘Marche et invente ta vie’’, écrivait Bernard Ollivier, créateur de Seuil, s’adressant à des jeunes mineurs en difficulté. Avec l’espoir et la volonté de faire par la marche une ‘‘renaissance’’. Et pour les 20 ans de l’Association, des Marches Solidaires dans cinq villes... une invitation donc à la Marche et à la Solidarité !
Dire fête nationale on pourrait penser fête populaire... mais en France c’est exclusivement parade militaire depuis 1954. Jusqu’à 1953, il y a 70 ans, il y avait deux défilés. Mais en 1953 la police a dispersé une manifestation de travailleurs algériens, tuant 7 personnes (6 algériens et un français). Depuis elle a été interdite. Rassemblement le 14 au matin pour la reprise du défilé populaire.
L’enseignement de la langue maternelle (celle que le bébé entendait dans le ventre de sa mère) aux enfants d’immigrés a été souvent revendiqué pendant les années 60/80, à la fois comme une forme de reconnaître les langues des immigrés mais aussi d’ouvrir les enfants à l’apprentissage des langues... et la langue portugaise en fait partie.
Il y a 49 ans, le 25 avril 1974, la plus ancienne dictature en Europe tombait grâce au mouvement des ‘‘capitaines d’avril’’. Dans les années 60/70, la France a accueilli de nombreux portugais, dont des jeunes insoumis ou déserteurs qui refusaient la guerre coloniale. Cette année, Les Hauts de Belleville rappellent l’exil des Portugais... !
Pour ce 8 mars 2023, à Ivry s/Seine (94) une chanteuse révolutionnaire et féministe... mais surtout cette volonté de transmettre le combat politique, social d’une ‘‘engagée à perpétuité’’, Dominique Grange qui continue à se battre pour-qu’on ‘‘n’efface pas nos traces’’ ouvertes en Mai 68 !
Par ARTHUR PORTO
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« Je ne suis qu’un saltimbanque qui sème ses mots à tout vent... » et de quelle manière ! Morice Bénin, chanteur, poète, artiste, nous a quitté il y a un an et demi et on va s’en souvenir, à Die (Drôme) du 22 au 24 juillet avec un concert, des chansons, lectures, une fresque, ateliers d'écriture, de voix, expositions, traces en Diois et «Sous les arbres, rejoignons-nous». Allons-y !
Par ARTHUR PORTO
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Oui, une autre commémoration est possible pour fêter l'amitié franco-algérienne et les 60 ans de l'indépendance de l'Algérie. Et pour le faire il est important que les événements douloureux et dramatiques ne soient pas escamotés. C’est le sens de la projection le 10 juillet, du film "Les balles du 14 juillet 1953" et de l’hommage aux victimes de ce massacre le 13 juillet place de la Nation.
Soirée-débat, sur l’état actuel et l’avenir du réseau ferroviaire français à partir de la projection du documentaire franco-suisse «Voyage à Bessèges» de Manuel Lobmaier. ‘‘Un film qui fait réfléchir sur le réseau ferroviaire français. Un point de départ pour penser aujourd’hui l’avenir du train en France, transport économique, collectif et maillon de la transition écologique’’.
« Ne regarde pas ce que nous sommes mais ce que nous allons devenir, ce que nous voulons devenir ». C’est à ça que le documentaire de José Vieira nous invite au Musée de l’histoire de l’immigration. Et d’autant plus pertinent car, trois jours après ce premier tour, le duo à l’affiche partage la même aspiration pour les réfugiés : comment s’en débarrasser et leur "pourrir" l’existence.