C’est une exposition sur le déchirement... la photo déchirée mais aussi des vies séparées, oubliées, noyées ! Tout en gardant l’espoir d’une nouvelle vie dont les huit bâtons de marche, exposés, compagnons du chemin, peut-être guides...
La même que l’année dernière, sauf que dans son sein il y a la guerre, déclenchée par un de ses dirigeants, enfant du KGB de l’ex-URSS (comme beaucoup d’autres j’ai défendu) qui en réécrivant l’histoire nous confronte à ce que l’Occident a produit . Originaire d’un petit pays à l’autre bout de l’Europe j’aimerais que le slogan politique ‘‘de l’Atlantique à l’Oural’’, soit aussi géographique.
Le Club ‘‘En Marche’’ est mort... et renaît de ses cendres, en changeant de nom! C’est «un pognon de dingue» qui a coûté le remue-méninges, ou plutôt le brainstorming de Mckinsey (& confrères) pour la trouvaille «Renaissance», nouveau nom du parti du re-président ! Qui avait déjà servi pour les Européennes de 2019 sans leur apporter bonheur!
C’était le premier mai de 2002, il y a vingt ans. Et pour une de mes filles et ses deux meilleures copines c’était leur première -vraie- manif, elles avaient 8 ans. Ce jour là, entre les deux tours des présidentielles, la fête des travailleurs a été aussi jour de manifestations contre le racisme, ayant rassemblé plus d’un million et demi de personnes contre J-M Le Pen candidat d’extrême droite.
Saurons-nous tirer des leçons politiques pour les législatives? Oui disait-on au soir du second tour. Toutes les ‘‘gauches’’ sont légitimes, pas de marque déposée. Il y a des multiples nuances, des différents degrés d’engagement, des prismes divers d’analyse des objectifs de la mobilisation, des pertinences variées sur le combat à mener. Pour réussir il faut qu’elles soient partagées!
Créteil (Val de Marne) - Le Mont-Mesly, faisant frontière avec Bonneuil sur Marne, est un des quartiers de Créteil où la vie des cités prend tout son sens. Environ dix mille personnes y habitent constituant plus d’une vingtaine de nationalités...
Paris - La « galerie des dons » contribue à l'originalité de la cité de l'immigration. Chacun y est invité à faire part de ses remarques, de ses émotions et de ses suggestions. Son témoignage peut être filmé et diffusé à la Cité mais également l'histoire de ses ascendants ou sa façon de comprendre et de s'exprimer sur l'immigration d'aujourd'hui.
Boissy St. Léger (Val de Marne) - Manifestation du 16 avril 2008 avec l'inauguration du Centre Stéphane Hessel. France Terre d'Asile, association gestionnaire du centre, a lancé le 20 juin 2006 à l'occasion de la Journée Mondiale du Réfugié, une opération de solidarité appelée « témoins du bien commun », associant à leurs projets une personne ayant vécu ou vivant encore en exil ou étant engagée dans le combat des droits de l'Homme, d’une certaine façon les garants de la tradition française et du bien commun qui représentent la valeur de l'hospitalité et du droit d'asile.
Ils étaient un peu plus nombreux, enseignants et parents d'élèves du collège-lycée Paul Valéry, à manifester ce matin 10 avril pour le quatrième jeudi consécutif, leur opposition aux mesures de suppression de classes, diminution du nombre de professeurs et à terme le démantelement de la communauté scolaire de Paul Valèry, dans le douzième arrondissement. Blocage de la circulation sur les Maréchaux (boulevard Soult), distribution de tracts aux automobilistes, échanges aussi avec les lycéens qui ont également participé à la manifestation.
Soirée-débat, sur l’état actuel et l’avenir du réseau ferroviaire français à partir de la projection du documentaire franco-suisse «Voyage à Bessèges» de Manuel Lobmaier. ‘‘Un film qui fait réfléchir sur le réseau ferroviaire français. Un point de départ pour penser aujourd’hui l’avenir du train en France, transport économique, collectif et maillon de la transition écologique’’.
« Ne regarde pas ce que nous sommes mais ce que nous allons devenir, ce que nous voulons devenir ». C’est à ça que le documentaire de José Vieira nous invite au Musée de l’histoire de l’immigration. Et d’autant plus pertinent car, trois jours après ce premier tour, le duo à l’affiche partage la même aspiration pour les réfugiés : comment s’en débarrasser et leur "pourrir" l’existence.