Le FNCD#5 s'est s’associé avec les étudiants de la Licence 3 Histoire de l’Art et d’Archéologie, parcours Histoire du cinéma (Paris 1 Panthéon-Sorbonne) dirigée pédagogiquement par Agnès Devictor. En résonance avec leur cours «Histoire du cinéma non-occidental: Afrique et Moyen-Orient» les étudiants ont couvert l’actualité du FNCD#5 à travers, notamment, des compte-rendu de séances.
Le FNCD#5 est heureux de s’associer avec les étudiants de la Licence 3 Histoire de l’Art et d’Archéologie, parcours Histoire du cinéma (Paris 1 Panthéon-Sorbonne) dirigée pédagogiquement par Agnès Devictor. En résonance avec leur cours «Histoire du cinéma non-occidental: Afrique et Moyen-Orient» les étudiants couvrent l’actualité du FNCD#5 à travers, notamment, des compte-rendu de séances.
Le FNCD#5 est heureux de s’associer avec les étudiants de la Licence 3 Histoire de l’Art et d’Archéologie, parcours Histoire du cinéma (Paris 1 Panthéon-Sorbonne) dirigée pédagogiquement par Agnès Devictor. En résonance avec leur cours «Histoire du cinéma non-occidental: Afrique et Moyen-Orient» les étudiants couvrent l’actualité du FNCD#5 à travers, notamment, des journaux vidéos.
Cette année, des partenariats ont été mis en place entre le FNCD#5 et deux universités: les étudiants de Licence 3 en Histoire de l'art, parcours histoire du cinéma de l'université de Paris 1 et les membres de la revue Effeuillage orchestrée par les étudiants du Master 2 en Communication, Marketing et Management des Médias au CELSA.
Le FNCD#5 est heureux de s’associer avec les étudiants de la Licence 3 Histoire de l’Art et d’Archéologie, parcours Histoire du cinéma (Paris 1 Panthéon-Sorbonne) dirigée pédagogiquement par Agnès Devictor. En résonance avec leur cours «Histoire du cinéma non-occidental: Afrique et Moyen-Orient» les étudiants couvrent l’actualité du FNCD#5 à travers, notamment, des compte-rendu de séances.
Dans le cadre de la séance EMERGENCES#4 / De la photo au cinéma, le FNCD#5 a programmé hier le film Field Niggas de Khalik Allah, photographe, dans lequel il filme à Harlem ceux qu’il rencontre, leurs récits jetés, scandés, leurs invectives, les gestes, capte les corps et les visages. Nicolas Feodoroff était présent à cette séance et nous parle de la présence photographique dans cette oeuvre.