L'idea di invitare il Parlamento europeo a non sdraiarsi davanti al Consiglio è nata dalle reazioni spontanee e convergenti di amici di diversi Stati membri la mattina del 3 luglio. I capilista sono state scartati e la persona presa in considerazione per la presidenza della Commissione non era nemmeno una candidata. Questa presa di potere dice agli elettori: non avete votato per niente.
Die Idee, das Europäische Parlament aufzufordern, sich nicht gegennüber dem Rat gefügig zu zeigen, entstand aufgrund der spontanen und konvergenten Reaktionen von Freunden aus mehreren Mitgliedstaaten am Morgen des 3. Juli. Die Person, die für den Vorsitz der Kommission in Frage kam, war nicht einmal ein Kandidat. Diese Machtergreifung der Staaten sagt den Wählern: Du hast für nichts gestimmt.
The idea of appealing to the European Parliament not to bow down before the European Council came about after the spontaneous and similar reaction of friends from several Member States on the morning of July 3. The top candidates were discarded and the person being considered for the presidency of the Commission was not even one of them. This ‘coup’ tells voters: you voted for nothing.
L'idée de lancer au Parlement européen un appel à ne pas se coucher devant le Conseil européen est née des réactions spontanées et convergentes d’amis de plusieurs pays membres au matin du 3 juillet. Les têtes de listes étaient écartées et la personne pressentie pour la présidence de la Commission n’était même pas candidate. Ce coup de force dit aux électeurs: vous avez voté pour rien.
La Double Démocratie donnerait aux parlements un pouvoir qu'ils n'ont pas en régime de coordination budgétaire. Elle garantirait la symétrie des ajustements entre créditeurs et débiteurs. L’impôt sur le patrimoine passif plutôt que sur le revenu libérerait l’Europe de la financiarisation. Ces propositions sont à l'origine du Comité d'Action pour la Démocratie en Europe.
The finance-State endogamy leads everywhere to the verification of the TINA doctrine – there is no alternative. We vote, but we have no choice. The more things change, the more the same thing happens: unemployment, precarity, growing inequality. The decision is confiscated by the executives. It is urgent to return it to our elected representatives. How? Going back to the spirit of the treaties.
L’endogamie finance-Etat conduit partout à la vérification de la doctrine TINA – there is no alternative. On vote, mais on n’a pas le choix. Plus ça change, plus c’est la même chose : le chômage, la précarité, le creusement des inégalités. La décision est confisquée par les exécutifs. Il est urgent de la rendre à nos représentants élus. Comment ? En revenant à l’esprit des traités.