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Le temps de ce que l’on appelle « l’actualité » s’impose à nous. Il nous faut parler de la guerre. Même s’il n’y a pas de mots pour la guerre, il nous faut tenter de la comprendre.
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On a l’habitude de fixer la fin de l’Empire romain à 1453, car il s’agit de l’année de la prise de Constantinople par les Turcs. Mais si nous nous trouvions devant une répétition de cet événement ?
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On a l’habitude de fixer la fin de l’Empire romain à 1453, car il s’agit de l’année de la prise de Constantinople par les Turcs. Mais si nous nous trouvions devant une répétition de cet événement ?
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Samedi dernier, le 3 juin, une rencontre était organisée entre « Marsactu » et « Mediapart », à la friche de la Belle-de-Mai, à l’occasion du quinzième anniversaire du quotidien en ligne national. Cela suscite, de ma part, quelques réflexions, que je publierai, pour une fois, dans mes deux « blogs ».
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Samedi dernier, le 3 juin, une rencontre était organisée entre « Marszactu » et « Mediapart », à la friche de la Belle-de-Mai, à l’occasion du quinzième anniversaire du quotidien en ligne national. Cela suscite, de ma part, quelques réflexions, que je publierai, pour une fois, dans mes deux « blogs ».
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L’exécutif se propose d’organiser une « consultation » destinée à nous préparer à une hausse des températures de 4°. Mais si, pour faire face à une telle menace, l’État entreprenait une véritable politique climatique, fondée sur une baisse réelle de la consommation énergétique ?
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Il semble qu’à la suite d'un nouvel élargissement en perspective, l’Union européenne passe de 27 à 37 pays membres. Quelle sera, désormais, la signification politique d’une telle union ?
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J’ai choisi d’attendre un peu, de tenter de prendre du recul, pour évoquer, une fois de plus, la réforme des retraites, désormais devenue une loi. Faisons-le, aujourd’hui, en l’inscrivant la signification globale de la présidence d’E. Macron.
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J’ai choisi d’attendre un peu, de tenter de prendre du recul, pour évoquer, une fois de plus, la réforme des retraites, désormais devenue une loi. Faisons-le, aujourd’hui, en l’inscrivant la signification globale de la présidence d’E. Macron.
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J’ai choisi d’attendre un peu, de tenter de prendre du recul, pour évoquer, une fois de plus, la réforme des retraites, désormais devenue une loi. Faisons-le, aujourd’hui, en l’inscrivant la signification globale de la présidence d’E. Macron.