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"Vendredi 25 avril à Rome, j'ai reçu Julian Assange (...) J'ai été très heureux de constater qu'Assange est en bonne santé (...) Il est un exemple pour tous ceux qui travaillent à la défense de la liberté de la presse et des droits de l'homme."
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Au Minas Gerais, 3 employeurs, d'une famille polyamoureuse, ont été écroués après la découverte d'un effroyable calvaire porté à un homosexuel qu'ils "employaient": coprophagie forcée, torture, sodomie, filmage des actes, sans salaire, etc. La monstruosité a été stoppée mi-avril 2025 par l'inspection du travail, suite à dénonciation anonyme en janvier. Info révélée hier par un journaliste de UOL.
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«Maintenant que Julian est libre, nous sommes tous venus à Rome pour exprimer la gratitude de notre famille pour le soutien du Pape pendant la persécution de Julian. Nos enfants et moi-même avons eu l'honneur de rencontrer le pape Francisco en juin 2023 pour discuter des moyens de libérer Julian de la prison. Francisco a écrit à Julian en prison et lui a proposé de lui accorder l'asile au Vatican»
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Profondément catholique, le président de la République - laïque - du Brésil s'est empressé d'atterrir à Rome le vendredi 25/4 pour être présent aux obsèques du pape argentin Francisco, le 26/4. Sa femme et une très importante délégation diplomatique et politique, dont l'ex-présidente de la République Dilma Rousseff, accompagne Lula da Silva et étaient présente devant le cercueil, le 25/4.
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Une direction de l'Assemblée nationale, à Brasilia, a déclaré jeudi 24 avril la perte du mandat, pour absence, du député fédéral Chiquinho Brazão, l'un des présumés commanditaires du meurtre de la conseillère municipale Marielle Franco et de son chauffeur Anderson Gomes le 14 mars 2018. Jusqu'à présent, Brazão continuait de toucher le salaire afférent à son mandat.
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Du vide et du plein. Un écran, non pas saturé de signes, de présages furtifs, flottants, mais recouvert de surfaces unicolores, d'étendues, d'épidermes, qui emplissent la toile, pour tenter d'unifier deux espaces-temps, mais rendent fébrile notre regard, sans le guider vers un Imaginaire. Sans dilemne, tel apparaît le long-métrage tunisien Les Enfants Rouges, à l'affiche en Europe, au Maghreb.
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VIDEO. Le prêtre Julio Lancellotti (1948) est le curé de la paroisse de São Miguel Arcanjo, dans le quartier aisé de Mooca dans la ville de São Paulo. Médiatique, nationalement, présent sans cesse auprès des SDF, il est vicaire pour la Pastorale des gens de la rue de l'archidiocèse. Durant la messe de Pâques du dimanche 20 avril, il a brandi la banderole de la Palestine. Un geste qui restera.
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Basée à Marseille, une nouvelle maison d'édition française dédiée à la seule littérature d'auteur(e)s indigènes et afro-brésilien(ne)s des périphéries des grandes villes du Brésil, est née mi-2024. Nichelle Teles, la trentaine, Bahianaise, puis installée au coeur de la géante São Paulo, venue en France en 2017, brûle, aussi, de s'enthousiasmer pour des manuscrits aux aspirations afro-féministes.
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Vingt ans après l'assassinat de la missionnaire américaine Dortothy Stang à Anapu, un autre leader d'un groupe de centaines de paysans qui luttaient contre la déforestation et l'invasion de terres productives par de grands propriétaires-fermiers, a été, dans la même ville, exécuté froidement, par balles, par deux tueurs casqués, dans son jardin, le 18 avril 2025, en plein jour.
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"Ceux qui pensent que la police militaire de São Paulo est hors de contrôle se trompent. En fait, elle est sous le contrôle idéologique du bolsonarisme. Le secrétaire d'État à la sécurité publique de São Paulo, Guilherme Derrite, et le gouverneur Tarcísio de Freitas, du parti Republicanos, sont partisan et enthousiaste de la barbarie réactionnaire qui s'est emparée de la corporation."
