Mediapart se joint à la campagne lancée ce lundi 1er septembre par Reporters sans frontières (RSF) et l’ONG de cybermilitantisme Avaaz pour dénoncer les meurtres de journalistes palestinien·nes à Gaza. « Au rythme où l’armée israélienne tue les journalistes dans la bande de Gaza, il n’y aura bientôt plus personne pour vous informer », affirment les plus de 150 médias qui soutiennent l’initiative.
Les attaques à répétition de François Bayrou contre Mediapart le déshonorent : au moment où les démocraties vacillent, elles montrent crûment son incapacité à défendre le droit de savoir quand ses intérêts personnels sont en jeu.
Quelle semaine ! Du réquisitoire Sarkozy au jugement Le Pen, en passant par les affaires Perdriau, Depardieu et Bétharram, l’actualité montre que grâce à votre soutien constant et renouvelé, le travail journalistique de Mediapart a des conséquences concrètes et durables dans notre société.
Comme chaque année en mars, Mediapart publie ses principaux indicateurs, s’obligeant à une transparence sans pareille dans la presse. Après une transmission réussie avec ses fondateurs, notre journal consolide son modèle d’indépendance, clef de sa crédibilité auprès de ses lecteurs et lectrices.
Face aux développements apparemment illimités de l’IA, Mediapart a décidé de réfléchir à ses besoins et de cadrer ses usages, en toute transparence à l’égard de ses lecteurs.
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Impliqué dans l’affaire Pegasus, l’État marocain, qui avait porté plainte en diffamation contre Mediapart et Edwy Plenel pour avoir affirmé qu’il avait espionné notre journal, a été définitivement débouté et même condamné à nous verser des frais de procédure.
En nommant Michel Barnier, issu d’un parti désavoué par les urnes, à Matignon, le président piétine l’usage parlementaire. Ne nous laissons pas endormir. Au-delà des élections, la vitalité démocratique se mesure à la capacité d’une société à se manifester face aux abus à chaque fois qu’ils surviennent et à la détermination des médias à assumer leur rôle de contre-pouvoir.