Alors que la plupart des médias nient ou minimisent l’existence d’un coup d’État en Bolivie, le journaliste argentin Nicolás Lantos nous éclaire sur celui qui en a été le principal meneur, Luis Fernando Camacho, ancien dirigeant de "l'Union de la jeunesse de Santa Cruz", une organisation paramilitaire de l'oligarchie bolivienne.
A deux semaines du coup d’État du 10 novembre, des policiers et des militaires continuent à tuer des Boliviens pendant que des gouvernements et des médias parlent toujours de «fraude électorale» et justifient l'injustifiable. Le journaliste argentin Marco Teruggi nous propose une synthèse de la situation.
Evo Morales, le président qui ressemble à son peuple, autodidacte, et qui a amélioré tous les indicateurs de l’économie et mis en place politiques sociales et éducatives comme jamais dans l’histoire de la Bolivie s’est vu obligé de démissionner face à la pression de bandes fascistes appuyés par des policiers. Le silence de certains gouvernements est ahurissant.
Le 18 juillet 1994, une voiture piégée, bourrée d’explosifs, a détruit complètement le bâtiment de l’AMIA, (Association Mutuelle Israélite Argentine). Un attentat féroce qui a fait 85 morts et plus de 300 blessés. 25 ans plus tard, le travail du photographe argentin Julio Menajovsky sera exposé le 14 novembre prochain à la Galerie de l'ambassade argentine à Paris.
Tous les indicateurs sont au rouge : le pays a été classé en « défaut sélectif » par trois organismes internationaux, l’inflation dérape, le peso dégringole et le gouvernement vient de décréter le contrôle de changes.
Le 11 août les argentins iront aux urnes. Les Primaires ouvertes simultanées et obligatoires (PASO) feront office de premier tour des élections présidentielles et législatives alors que quatorze provinces sur vingt-quatre ont déjà choisi leur gouverneur au cours de l’année. Le parti du président a réussi à faire élire un seul gouverneur...
Une trentaine de responsables politiques de 10 pays d'Amérique latine se sont réunis dans la ville de Puebla (Mexique) pour signer un accord en faveur des gouvernements progressistes et lutter contre l'avancée de l'extrême droite.
L'envoyé du Fonds, l'argentin Alejandro Werner à rencontré les candidats Alberto Fernández et Roberto Lavagna. Il a déclaré: "A ce stade, nous sommes venus pour comprendre le programme qu'ils prévoient de mettre en pratique"
« Sinceramente » (Sincèrement), le livre de l’ex-présidente Cristina Fernández de Kirchner fut présenté le 9 mai au Salon du livre en Argentine. Plus de 300 000 exemplaires vendus en deux semaines, dont 60 000 vendus le 26 avril, le jour de sa parution en librairies.