Comment quelques multinationales décident de ce qu’on a le droit de dire et d’entendre, d’écrire et de lire, de montrer et de voir — de ce qu’on a le droit de penser.
La catastrophe en cours dans le Pas-de-Calais devrait provoquer une prise de conscience massive sur les conséquences du réchauffement climatique. C’est mal barré.
À Lyon, l'extrême droite peut compter sur la passivité de la préfecture. Continuer de lancer des attaques depuis ses locaux. Un jour, peut-être, tuer ?
Le ministre de l'Agriculture n'aime pas qu'on s'attaque aux terrains de golf. Il n'a pas de mots assez durs pour les défendre et fustiger leurs détracteurs, quitte à sombrer dans l'hypocrisie la plus crasse.
« Le Conseil d’État suspend en référé la dissolution des Soulèvements de la Terre », et ça s'affole dans les commentaires du Figaro. Mal. Quelques réponses à des gens qui ne les méritent pas.
Et le travail avec. Enfin, par « réformer les retraites », il faut plutôt comprendre « arrêter de casser progressivement le machin pour le remplacer par un système injuste ».
Ou plutôt, qui ne veut pas ? Réponse en deux temps, en expliquant les raisons qu'on peut avoir de vouloir la disparition de bases desquelles partent régulièrement des agressions violentes, puis ce qui cloche dans le processus. C'était l'objet de la conférence organisée par le collectif « Fermons les locaux fascistes », le 23 janvier, dans la mairie du 1er arrondissement.