2022 Notre regard se tourne vers Bruxelles et Strasbourg.
Le site https://secondmedicineeuro.wordpress.com/ est en cours de traduction dans les 24 langues européennes.
Coup de main bienvenu !
Au fil de l'envoi des courriels sur le scandale sanitaire de la phagothérapie, quelques contacts se font - enseignants en SVT, médecins, etc..
Aujourd'hui nous découvrons l'histoire d'Alyse qui a perdu son Papa par bactérie multirésistante aux antibiotiques. Et Alyse découvre comment les députés LaRem s'intéressent à ce scandale sanitaire.
Sidération ! Le pouvoir politico-médical ne met pas en place la phagothérapie qui sauverait des milliers de vies. Y-a-t-il eu dans l'histoire de la médecine une situation similaire ? Oui ! En 1847, Semmelweis a compris la différence entre contagion et contamination : ce sont les praticiens qui sèment la mort en transportant des bactéries. Quand Michaelis a compris cela, il s'est suicidé.
Question : pourquoi laisse-t-on mourir les patients ? La phagothérapie est efficace, sans effet secondaire, pas chère. Pour nous, pas d'explication simpliste : "Tous des vendus à l'industrie du médoc !" (1) Il faut aller dans la complexité de l'imaginaire et du symbolique et s'interroger sur un mythe avec Chevalier Blanc et Princesse. Quitte à ce que cette interrogation dérange.
Quatre mois d'échanges par courriel, en tête à tête, au téléphone. Le diagnostic est sans appel. Les Français - du plus modeste au Président - sont sidérés, paralysés, impuissants devant le scandale sanitaire. La France responsable, coupable, etc. de laisser mourir des jeunes, des vieux, des hommes, des femmes en ne les soignant pas par la phagothérapie - voir précédents billets.
Pouvoir législatif, pouvoir judiciaire, pouvoir exécutif, qui est responsable ?
12 mille décès par an alors que la phagothérapie est là, dans l'hôpital militaire, dans le laboratoire clandestin, etc.
Sidération !
Le lecteur est sidéré de découvrir cela.
La sidération paralyse. Paralyse le législatif, le judiciaire, l'exécutif.
Alors, on fait quoi ?
La découverte du massacre laisse le chercheur pantois.
Comment est-ce possible ?
Et puis, au fil du temps, on observe de terribles problèmes de cloisons.
Cloisons entre les concepts.
Cloisons en trop, cloisons en moins.
Un mot trop général comme "oiseau", "arbre" ou "véhicule" pose problème au lecteur.
Quand il s'agit de "phage" on ne sait pas s'il s'agit d'un phage-gardien bénéfique ou d'un phage-vecteur inquiétant.
La sagesse voudrait que les auteurs utilisent des mots "porteurs d'un vrai sens".
Et pourtant ...
12 mille décès par an en France, 60 mille amputations et invalidations par les bactéries. On n'utilise pas la phagothérapie qui élimine les bactéries.
Choc : les experts évaluent les cas de Diana, Irène et Younés qui sont en danger de mort.
Décision : on ne cultivera pas de phages pour sauver Diana, Irène et Younès