Quel fut le sésame ( ?) qui le vendredi 15 juin 2018, me permit d’ouvrir un très bref échange avec le PDG de Renault. Le temps d’avoir la confirmation que sa réputation de joueur n’est pas usurpée « votre question …on va vous expliquer … vous vous plantez… Je suis prêt à parier … », le monologue était clos non sans qu’une rencontre avec la Directrice délégué à la présidence ne soit envisagée
Selon la lecture des statuts de RNBV mis en ligne sur le site de Renault, (https://group.renault.com/finance/gouvernance/) le capital social de RNBV a été modifié. De 50 %, à égalité avec Nissan, la participation de Renault passerait à moins de 25%.
Selon la lecture des statuts de RNBV mis en ligne sur le site de Renault, (https://group.renault.com/finance/gouvernance/) le capital social de RNBV a été modifié. De 50 %, à égalité avec Nissan, la participation de Renault passerait à moins de 25%.
chez Renault une tradition est, elle, toujours vivace, celle du mythe. Au temps de sa splendeur Billancourt en étant fort friand, par exemple celui de la «forteresse ouvrière» disparue avec elle. Certains mythes ont une dimension sociologique et puisent leurs racines dans l’inconscient collectif en prenant une valeur symbolique
Partisans et adversaires de la réforme anticipent, tradition française oblige, le passage de relais à la rue. D’ores et déjà on peut dire, que le nombre de fonctionnaires dédié au maintien de l’ordre public n’est pas près de baisser
entre les partenaires de l’Alliance et la filiale hollandaise RNBV a été approuvée par l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires de Renault qui s’est tenue le 28 mars 2002. Sauf à considérer nulles et non avenues, les décisions prises par les actionnaires, on peut rappeler qu’à cette occasion il a été spécifié entr’autres les points suivants : Renault s.a.s. ne déléguera pas
On pourra remarquer la confusion des rôles : monsieur Ghosn s’exprime-t-il et agit-il en qualité de PDG de Nissan ou Renault ? La position de Monsieur Carlos Ghosn comme aurait pu le souligner à juste titre la Cour des comptes dans son rapport sur l’Etat actionnaire, est « polycéphale » puisqu'il a cumulé jusqu’au 1er avril dernier quatre fonctions, PDG de Renault, de Nissan, de Mitsubishi et
- Cette création a pour première conséquence d’officialiser la fusion de branches utilitaires des deux, puis des trois constructeurs. Cette décision est donc une entorse à la doctrine officielle pour laquelle le terme de fusion est tabou. Faut-il écrire qu’il y a eu tromperie ?
Sommes-nous dans le même cas de figure que chez Volkswagen : ou dans le cadre d’une optimisation des tests d’homologation ? Cette suspicion traîne depuis la mise en évidence « du scandale VW » en septembre 2015, il devient urgent d’être fixé sur ce point. L’entreprise aurait pu y contribuer en apportant des preuves autres que des déclarations de bonnes intentions.