La place de Renault au sein de l’Alliance n’est pas le dernier des sujets à la une. Qu’en est-il alors que l’accord de stabilisation signé en décembre 2015 en conclusion de l’affrontement qui a vu s’opposer le PDG de Renault à son ministre suite à la montée de l’État au capital du constructeur automobile fait l’objet de diverses interprétations
Hasard du calendrier ou non, cette annonce intervient alors que le Ministre de l’Économie exige que le Conseil d’administration revienne sur sa décision relative au salaire de Carlos Ghosn. Le PDG de Renault rappelle à son ministre qu’il n’a que faire de ses injonctions
Tel qu’il est construit le Conseil d’administration de Renault garantit au PDG une majorité de fonctionnement à travers le filtrage des candidatures proposées au vote de l’assemblée des actionnaires. Le Conseil n’est qu’une chambre d’acquiescement qui conforte le pouvoir de Monsieur Ghosn.
Tel qu’il est construit le Conseil d’administration de Renault garantit au PDG une majorité de fonctionnement à travers le filtrage des candidatures proposées au vote de l’assemblée des actionnaires. Le Conseil n’est qu’une chambre d’acquiescement qui conforte le pouvoir de Monsieur Ghosn.
Tel qu’il est construit le Conseil d’administration de Renault garantit au PDG une majorité de fonctionnement à travers le filtrage des candidatures proposées au vote de l’assemblée des actionnaires. Le Conseil n’est qu’une chambre d’acquiescement qui conforte le pouvoir de Monsieur Ghosn.
Largement commenté, pour ne pas dire critiqué, produit d’un compromis l’accord du 13 mars 2013 sur la compétitivité s’il a permis d’offrir un sursis aux sites de fabrication et de montage en France n’aura pas été sans incidence pour les salariés qui ont été largement mis à contribution. Il faut croire que les résultats attendus sont là puisque la Direction envisage un nouvel accord.
« Les principes fondateurs de l’Alliance sont régis par des principes fondamentaux d’équilibre et de synergie entre les deux entreprises mondiales. La stratégie menée par Carlos Ghosn suit une vision très personnelle qu’il semble avoir de l’avenir de l’Alliance. Les deux groupes, Nissan comme Renault, pour n’être que des moyens pour atteindre ses propres objectifs"
« Les principes fondateurs de l’Alliance sont régis par des principes fondamentaux d’équilibre et de synergie entre les deux entreprises mondiales. La stratégie menée par Carlos Ghosn suit une vision très personnelle qu’il semble avoir de l’avenir de l’Alliance. Les deux groupes, Nissan comme Renault, pour n’être que des moyens pour atteindre ses propres objectifs"
Si telle en est la raison de l’accord, ce qui semble le cas, ce n’est plus un hold-up c’est un putsch à froid ! En caricaturant il suffirait que Carlos Ghosn dans son costume de PDG de Renault propose à son alter ego de Nissan une « résolution » que ce dernier dans un bel élan refuse, pour que le constructeur japonais contrôle l’Alliance ? Délire ? c’est à voir !
Si telle en est la raison de l’accord, ce qui semble le cas, ce n’est plus un hold-up c’est un putsch à froid ! En caricaturant il suffirait que Carlos Ghosn dans son costume de PDG de Renault propose à son alter ego de Nissan une « résolution » que ce dernier dans un bel élan refuse, pour que le constructeur japonais contrôle l’Alliance ? Délire ? c’est à voir !