Si l'âge d'or d'un journalisme parfait et incorruptible n'existe pas, on constate une dégradation du niveau du journalisme public en France. Illustration avec l'exemple de Franceinfo.
L'épreuve du discours de politique générale est passé pour le Premier ministre. Retour sur les conditions de sa nomination, sur la pitoyable comédie de ces derniers jours et sur les renoncements coupables d'une partie de la classe politique.
Le 29 avril dernier, Jean-Luc Mélenchon participait à un débat face à Alain Duhamel sur BFMTV. D'une grande qualité, ce débat ouvre une perspective sur la reconquête possible d'électeurs de 2017 ou 2022, ou de personnes qui hésitent, car il offre une image de Mélenchon peu souvent admise dans l'imaginaire collectif.
Si la disparition progressive du PS comme force motrice de la gauche semble actée depuis 2017, et les 6% de Benoît Hamon à l'élection présidentielle, la lente agonie du vieux parti s'étire en longueur et tarde à, enfin, laisser le reste de la gauche travailler et avancer.
Si l'âge d'or d'un journalisme parfait et incorruptible n'existe pas, on constate une dégradation du niveau du journalisme public en France. Illustration avec l'exemple de Franceinfo.
Les socialistes se gargarisent d'avoir fait plier le gouvernement. Ne seraient-ils pas, encore une fois, dans la posture plutôt que dans la rupture ?
L'épreuve du discours de politique générale est passé pour le Premier ministre. Retour sur les conditions de sa nomination, sur la pitoyable comédie de ces derniers jours et sur les renoncements coupables d'une partie de la classe politique.
Le 29 avril dernier, Jean-Luc Mélenchon participait à un débat face à Alain Duhamel sur BFMTV. D'une grande qualité, ce débat ouvre une perspective sur la reconquête possible d'électeurs de 2017 ou 2022, ou de personnes qui hésitent, car il offre une image de Mélenchon peu souvent admise dans l'imaginaire collectif.
Si la disparition progressive du PS comme force motrice de la gauche semble actée depuis 2017, et les 6% de Benoît Hamon à l'élection présidentielle, la lente agonie du vieux parti s'étire en longueur et tarde à, enfin, laisser le reste de la gauche travailler et avancer.