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La vie : une relecture

  • Devant le match du Polo Hockey Club : la dolce vita marcquoise

    Par | 1 recommandé
    Soleil, beau monde et match distrayant : supporters et amateurs de hockey se sont retrouvés dimanche à Marcq-en-Barœul, dans le Nord, pour partager un moment chic et doux.
  • Portfolio

    Eux et leur double - Rencontre avec des cosplayeurs

    Par | 4 commentaires | 4 recommandés
    Fans de mangas, de jeux-vidéos ou de dessins-animés : les cosplayeurs sont des passionnés, aimant créer et porter les costumes de leurs héros favoris. Lors de conventions spécialisées ou de rencontres entre amis, ils revêtent leurs créations et se glissent dans le rôle qui correspond. L’occasion de se transformer en un flamboyant personnage de fiction, à mille lieues de la banalité du quotidien.
  • Plongée dans l’univers rassurant et sexiste des vidéos de cupcakes

    Par | 16 commentaires | 16 recommandés
    Je vous parle d’une addiction que les moins de 130 kilos ne peuvent pas connaître. Oh là vous, je vous entends déjà pointer mon racisme anti-gros ! Oh, et je l’entends le Huffington Post me parler de « grossophobie » ! (Mais remarquez, le Huffington Post nous conseille aussi de regarder cette vidéo d’un poulpe promenant sa noix de coco, je réfute donc légitimement tous ses arguments).
  • « Love » : la critique non censurée

    Par | 23 commentaires | 10 recommandés
    Vous vous apprêtez à lire une relique. Je vais vous parler de « Love », ce film de Gaspar Noé que j’ai vu lorsqu’il n’était encore interdit qu’aux moins de 16 ans. Cet arrière-goût de stupre et d’interdit flottait dans la bouche des quelques mineurs de la salle, désormais indésirables depuis que le TA de Paris a tranché : Love sera finalement interdit aux moins de 18 ans. Le plus triste sera de ne plus croiser leur regard fasciné à mesure qu’une prostituée transsexuelle se déshabillait sous nos yeux.
  • Critique du film « Hill of Freedom »

    Par | 2 commentaires | 6 recommandés
    J'aime l'Asie. J’aime profiter de son patrimoine culturel et n’ai pas honte de venir enrichir son économie de quelques deniers. Pour preuve, j’ai dépensé plus de 400 euros à acquérir 65 tomes du manga Détective Conan, bande dessinée japonaise où les  protagonistes enquêtent aussi bien sur des meurtres survenant à huis clos, dans des toilettes de restaurant, ou à Marineland.