-
Le décalé préfet Lallement présente ses excuses pour son écart insultant vis à vis des victimes hospitalisées du COVID-19. Mais Guillaume Apollinaire n'as pas apprécié et reprend une strophe de "La Chanson du Mal-Aimé" dans "La réponse des Cosaques Zaporogues au sultan de Constantinople", une réponse me semble t-il adaptée à la circonstance.
-
Le sociologue Alain Touraine affirme que pour exister sociologiquement, une classe doit posséder une conscience de classe. Or si cette conscience de classe ne résulte plus d’un sentiment d’appartenance, elle doit naître d’un sentiment d’opposition à l’autre classe tout simplement parce l’autre classe ne comprend pas la nécessité de redistribuer des richesses.
-
Chômage, précarité, pauvreté, Inégalités sociales, mal bouffe, pollution. Tels sont quelques résultats de nos gouvernants depuis 40 ans. Ils vantent le libre-échange comme seul moyen de gérer l’économie. Ce sont des menteurs, manipulateurs, des tricheurs, des usurpateurs, en clair, ce sont des enfoirés ! Ne restez pas seulement devant votre petit écran. Prenez le temps de lire et de transmettre.
-
J’avais écris cet article le 30 août 2015 sous te titre: « A ces élus qui décapitent la démocratie ! ». Plus de trois ans après, les éléments sont confortés par la révolte des gilets jaunes, du moins dans ce que cette révolte à de meilleur, c’est à dire un vibrant appel contre les inégalités et pour une démocratie réelle. Le pire ne doit pas être à venir !
-
Une fois n’est pas coutume, j’emprunte ce titre à Jean Gadrey professeur honoraire d’économie. Prenons les choses sous un autre angle. Les riches coûtent à la nation un pognon de dingue de plus de 300 milliards par an, alors que l’ensemble des aides sociales est chiffré à 70 milliards. Les choix politiques de ces 40 dernières années sont à l’origine de cela. Il est temps de changer de cap.
-
J’ai été impressionné comme beaucoup par le geste de ce Malien qui n’a pas réfléchi une seconde pour aller sauver la vie de cet enfant pendu à un balcon d’un quatrième étage. Cela me donne désormais un point commun avec le Président de la République. La reconnaissance ! Mais :
-
le 15 mai 2018
"Les groupes du CAC 40 ont redistribué à leurs actionnaires les deux tiers de leurs bénéfices depuis le début de la crise, au détriment des investissements et des salariés !"
«La France est le pays au monde où les entreprises cotées en bourse reversent la plus grande part de leurs bénéfices en dividendes aux actionnaires», assure le rapport intitulé «CAC 40: des profits sans partage»,
-
Quel qualificatif employer pour justifier le holdup du patrimoine de ceux qui n’ont rien et/ou qui ne sont rien aux yeux du Président Macron. Il mériterait le surnom d'Ali Baba. Son sésame est son élection présidentielle; sa caverne est la République; mais, malheureusement, les voleurs amplifient leur trésor !
-
Il faut se mettre d'accord sur les chiffres. La SNCF annonce 20% de grévistes et 20 millions d'euros de chiffre d'affaire perdus par jour de grève. Ces éléments, complétés par d'autres, démontrent combien les cheminots sont des salariés qui procurent une marge brute de 30 % ! Effectivement, il y a de quoi attirer la concurrence.
-
Mayotte l'insurgée, mais comment s'en étonner ? Les élus, les associations, les syndicats ne sont plus écoutés. Alors, aujourd'hui, le pouvoir doit négocier avec la foule qui hurle son désarroi. On ne peut pas étouffer la colère comme on ne peut pas boucher un volcan en fusion.
Mayotte est la partie apparente de cet iceberg du déficit démocratique que connaît notre pays depuis des décennies.