En droit de la nationalité, on le sait, deux conceptions s’opposent, au fond. L’une considère que la nationalité est le produit de l’origine ethnique, linguistique, culturelle, géographique, du sujet. Elle promeut la race, la langue, l’habitus, la terre, l’Être. Elle distingue par naissance un individu comme « national ».
Cohabitent, au monde de l’éducation, trois mondes, dont s’étiole, au fil des exercices gouvernementaux et au détriment massif des positions françaises, le dialogue.
« Nous, citoyens et élus de Sénaillac-Lauzès et de la communauté de communes du Causse de Labastide-Murat, exprimons notre inquiétude et notre colère face à la perspective de l’installation d’un groupuscule à dérives sectaires sur notre territoire », clame le texte de leur pétition adressée à Gérald Darmanin...
Dans son De rerum natura, on le sait, l’Épicurien Lucrèce attribue la naissance des formes, de ces départements du monde sur quoi se fondent et la confrontation éternelle des corps et la capacité d’en conquérir et d’en enseigner l’intelligibilité au cœur de l’être principiel, à une légère inclinaison de la chute verticale des atomes en pluie, à ce qu’il nomme le « clinamen ».