Lettre ouverte à Rachida Dati, ministre de la Culture, suite aux partis pris des musées du Louvre et d’Orsay. Formellement, objectivement : « La Liberté guidant le peuple » vient d’être décavée de son 1/5ème capital ; et les ‘restaurations-destructions’ se poursuivent par exemple sur G. Courbet. – Averti, on persévère ! Or un moratoire de sauvegarde pour réexamens visuels paraîtrait responsable
"L’Atelier du Peintre" la grande œuvre de Courbet paraît irrémédiablement dévalorisée ; donc une forme de vrai faux du jour ? Le type d’examen visuel numérique proposé comme essai n’a pu être mené... comme vérification visuelle objective. Or voici le tour de "l’Enterrement à Ornans". – Enjeux picturaux ? Avec pratique du langage social au M’O peut-être sous ingérence esthétique des USA ?
Traces exemplaires rétablies pour la Paix... Valeurs suprêmes célébrées ? Or voici un État défiguré. Constat actuel par ce rappel à la mémoire : – « visage de la France », – état des lieux au-delà des drapeaux : – « Écoute aujourd’hui jeunesse [...] de ses lèvres qui n’avaient pas parlé [...] Sa pauvre face informe du dernier jour ». – Ah Vision présente !
A-t-on suffisamment relevé le manque de culture picturale, visuelle et sensible, mardi 28 janvier, au musée du Louvre ? Devant la Joconde, Emmanuel Macron écopant (dans la Salle des États) la gestion consumériste de l’établissement, il y avait le grand Véronèse « Les Noces de Cana » en ses restes désaccordés... – Le scoop livré à Mediapart a-t-il été perçu ? – Retour nécessaire sur Le Watteau.
VOIR, certes avec un RE... Vision en révélation subliminale. Celle véhiculée par l’affichage de cette Peinture in situ. Peut-être ainsi pour tordre le désir esthétique ? Voici une des formules remarquables d’appropriation par l’inconscient, au Louvre, pour s’adresser au public. Révélation ? Détournement d’un bien culturel exploitable par l’obscénité...
Après plus de trente ans d’alertes, les interventions menées sur Le Gilles de Watteau apportent une nouvelle preuve de duplicité du discours sur la ‘conservation-restauration’. Il n’y a pas de mots assez graves pour exprimer un large désastre consécutif à des partis-pris de manipulations de forme et de sens, voire les mensonges actuels : à quelle esthétique frelatée se rattachent-ils ?
Le Gilles de Watteau manifeste encore, après plus de trente ans d’alertes, que le discours institutionnel sur une « restauration » peut être fallacieux. Il n’y a pas de mots assez graves pour exprimer le désastre consécutif à des partis-pris de manipulation, de forme, de sens. Si l’on se réfère aux principes respectant l’intégrité picturale, allons plus loin quant aux mensonges de la Communication
Le cas du Gilles, tableau de Watteau appelé aujourd’hui Pierrot, manifeste, après plus de trente ans d’alertes, la duplicité qui règne dans le discours institutionnel sur la restauration. Il n’y a pas de mots assez graves pour exprimer le désastre esthétique consécutif à un aveuglement paradoxal et officiel. Dès lors, c’est aux mensonges de la Communication que nous dédions ce supplément d’analyse
On peut lire sur ‘Agoravox’ un article dithyrambique, expression de l’idéologie qui tient actuellement le LOUVRE sous son emprise. ‘Le Gilles’ de Watteau réapparu et les sollicitations de la rentrée m’ont distrait des démonstrations autour de Delacroix, tant ce tableau encore extatique, aérien, vision sublime de l’artiste, m’était cher. Le Chef-d’œuvre de cet être subtil est à présent exsangue...
3/ 4 – Fleuron de la France, « La Liberté guidant le peuple » a subi une mutation horrible :
elle a perdu sa clarté dorée, son élan de vie, d’amour et d’harmonie. Ce don d’Eugène Delacroix au patrimoine de l’Humanité ne guide plus nos désirs sublimes de Résistance,
en raison d’un travail de sape... – Post 2 en guise de P.-S., complément rationnel