Le blog de fadela hebbadj

Les productions littéraires : « « San’a », « Chaâbî », « Badwî », etc. » sont secondairement valorisés au bénéfice du patrimoine littéraire classique. Mais les productions les plus négligées sont les quatrains féminins citadins de tradition orale du Maghreb. La poésie traditionnelle féminine, son ancienneté, sa valeur esthétique et artistique pourraient amplement nourrir des discussions savantes.

Avec l'accord de Khédidja Terki, il m’a semblé citoyennement utile de présenter sa lettre, envoyée au Sénateur et Maire d’Alfortville Luc Carvounas. Sa maman vit à Alfortville depuis 1950, et actuellement la tour de treize étages qu’elle occupe à la cité Chantereine, est dans un état déplorable.

"Partir partir partir... Un jour je ferai un grand voyage". Le droit naturel à l’errance revendiqué par Isabelle Eberhardt dans "Ecrit sur le sable", Marie l’érige aussi au-delà des images trompeuses, des lois positives et des droits internationaux, depuis maintenant quarante-ans. Elle s’ennuie auprès de la fausseté.

Le sujet parlant au contact de l'écrit met sa parole sous son regard. "Sous la parole, il y a la langue", dit Christiane Morinet.

L’engagement politique de Godard, la posture autobiographique de Truffaut ou la critique sociale de la bourgeoisie de Chabrol, Rivette etc. étonnèrent et emportèrent le public sur une vague qui dura dix années. Leur lecture est le fruit de leur temps malgré la censure.

Tes pieds je les touche dans l’ombre de Pablo Neruda

Dernière illusion dans l’existence d’une femme avant d’atteindre la quiétude d’une vie solitaire. Je ne présenterai pas analytiquement Vingt quatre heures de la vie d’une femme de Stefan Zweig.