Au lieu de rendre compte d'une lecture, je propose dans ce billet une rencontre avec un lecteur. Jérôme Rollin, urbaniste à l'atelier PPLV et chercheur associé au Lab'Urba (Université Paris-Est), a lu «Nos cabanes» de Marielle Macé, paru chez Verdier en mars dernier. Comme praticien des sciences sociales, il partage ici les réflexions que lui ont inspirées ce court texte, en deux questions.
Derrière la rengaine "maire bâtisseur, maire battu" qui organisait le programme des entretiens d'Inxauseta, se jouait en fait une réflexion ambitieuse sur la politique du logement ; les acteurs débattants voulant s'attaquer à ses limites classiquement reconnues pour envisager une vision d'ensemble renouvelée. Une journée de nouveau passionnante.
A l'occasion de son Congrès 2019, l'Union sociale pour l'habitat qui fédère les organismes Hlm, a fait paraître un ouvrage sur la société qui vient, rassemblant des contributions de grands chercheurs en sciences sociales, issus de divers disciplines. L'articulation d'ensemble, (dont j'ai assuré le secrétariat scientifique), a été pensée au regard des défis et enjeux du logement social.
Robert Lion, très haut fonctionnaire français récemment décédé, a été l'un des artisans de la modernisation des Hlm dans les années 1970, au début de sa carrière. Dans son ouvrage "L'Etat passion", paru chez Plon en 1992, il décrivait brièvement cette expérience, dont cette note de blog reprend l'extrait.
Dans ce billet, je reviens, plus de trois ans après, sur mon intervention lors des cinquièmes Rencontres nationales du logement qui clôturaient un cycle de concertation au long court. A l'époque, je travaillais sur la notion de transition et m'interrogeais sur la notion même de crise du logement, peu opératoire.
Interrogeons la méthode ayant présidé à l'organisation du "Grand débat des idées", la nuit dernière à l’Élysée sur plus de huit heures durant. N'y a-t-il pas un paradoxe entre l'affichage d'un événement inédit et l'absence d'innovation dans sa préparation, conduisant à un exercice penchant vers les mondanités, bien loin de ce que pourrait être une démocratie participative à l'échelle nationale.
Dans ce billet, je reviens sur les quatre idées clés des invités de la conférence « Habitat, l’innovation et l’expérience », qui proposait de travailler le rapport des chercheurs en sciences sociales à leur objet, autour de quatre témoignages, en s’attachant au rôle de leur activité, en tant que professionnels dans le champ du logement.
Dans ce billet, je raconte a posteriori la réflexion vagabonde que m'inspirait l'instant aux Entretiens d'Inxauseta 2018. Il ne s'agit donc pas d'un compte rendu, mais simplement d'une note mise en forme d’après mon carnet de terrain. Je choisis de la publier en tant que témoignage différé d'un participant, observateur, simplement pour dire que des moments rares comme ceux-ci sont utiles.
Au détour d'une conférence à l'Union sociale pour l'habitat, décrire l'enjeu d'un moment situé où le discours peut se libèrer de son efficace organisationnelle, pour mieux tenter d'innover collectivement, grâce à l’exercice individuel d'une écoute alerte. Je reprends ici l'introduction que j'avais préparée pour un événement de la Semaine nationale des Hlm, en la précisant.
Je reprends ici l'interview donnée pour la Semaine nationale des Hlm 2018, qui évoquait la préparation d'une conférence autour de chercheurs sur le thème de l'innovation, imaginée dans la suite de mes réflexions sur le secteur du logement, vu globalement, comme sujet du débat public et enjeu d'appropriation pour les acteurs.
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