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Le blog de haibaus

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Vers le gouffre : Israël, l’Iran et l’effondrement moral de l’Occident
L’Occident ne sombre pas sous les coups de ses ennemis, mais sous le poids de ses trahisons et de son hypocrisie. En s’agenouillant devant un État colonisateur en pleine dérive génocidaire, il abdique toute prétention morale et précipite le monde vers le chaos -
Gaza : un génocide sous les projecteurs du monde
Sous les yeux du monde, un peuple est broyé. Les bombes tombent, les enfants meurent, les hôpitaux s’effondrent — et les chancelleries occidentales détournent le regard, verbe haut, conscience basse. Ce n’est plus une tragédie : c’est un verdict. -
Gaza, ou l’art technocratique de dissoudre un peuple
Sous couvert d’humanitaire, une stratégie méthodique d’effacement s’est mise en place : privatiser la faim, neutraliser la mémoire, administrer la dépossession. -
Gaza : mémoire d’une famine orchestrée
À Gaza, l’État moderne a trouvé son ultime raffinement : administrer la famine comme on orchestre une guerre. Non pas pour vaincre un ennemi, mais pour effacer un peuple. Sous couvert de sécurité, Israël expérimente une barbarie froide, codifiée — et le monde regarde, calcule, marchande. -
Trump à Riyad, Gaza sous les gravats : anatomie d'un monde arabe déchu
Ce texte n’est pas une simple critique du silence occidental. Il établit, avec douleur, la responsabilité centrale des régimes arabes dans l’abandon de Gaza. Une trahison méthodique, logistique, morale — théorisée et assumée. -
Quand Thierry Ardisson dit ce que d’autres taisent
Comparer Gaza à Auschwitz n’est pas une outrance, mais une fidélité au devoir de mémoire. Thierry Ardisson n’a pas blasphémé : il a simplement osé rappeler que la souffrance n’a pas de monopole, et que l’Histoire, quand elle est sincère, ne censure pas les échos qu’elle réveille. -
Testament de Gaza
France, je vous écris depuis les ruines — non pour supplier, mais pour témoigner. Car dans les cendres de Gaza, une mémoire veille encore, plus vive que vos reniements, plus tenace que vos oublis. -
L’Empire domestiqué — Gaza bombardée
L’asphyxie de Gaza ne résulte pas d’un simple excès de violence. Elle révèle une architecture plus vaste, une soumission programmée : celle d’un empire qui ne commande plus, mais obéit. Qui ne réfléchit plus, mais exécute . -
À Jérusalem, les pins de l’oubli s’embrasent — un crime vert refait surface
Israël croyait dissimuler la Nakba sous des pins — voilà qu’ils flambent. Ce qui se consume aujourd’hui, c’est l’illusion d’une forêt née sans violence. Le vent chaud d’un printemps en feu ravive la mémoire enterrée sous les parcs. Les arbres se taisaient, mais la terre parle.