L'article part de l'exemple où les oiseaux en voie de disparition oublient leurs chants pour le comparer à la célèbre disparition des lucioles analysée par Pasolini en 1975
Il n’y a pas de maladie mentale ! Cet énoncé n’est pas contradictoire avec «il y a des problèmes de santé mentale » Il s’agit simplement d’établir un autre rapport dans la pratique. Il y a une souffrance dans le mental à traiter qui provient d’un transfert du social dans le mental. Cela implique autre chose que le centrage médical et annonce une psychiatrie différente.
Cette journée de travail n'est pas classique. Elle est organisée avec des étudiant(e)s en psychologie qui travaillent avec l'outil Marx!
Au programme Artaud, Sarah Kane, Gramsci, Paolo Freire, Marx, Engels, Mao, Wallon, Butler, Politzer, Lefebvre,
ARGUMENT DE LA JOURNEE
Notre orientation est de partir de la vie sociale pour analyser ce qui se produit dans le mental. Il y a un transfert de problématiques sociales dans le mental et la douleur en souffrance dans le psychique y trouve sa logique. Le transfert social, transfert de valeurs, qui fonctionne en anneaux et non en triangulations, est notre outil de travail
Pour ce 1er mai confiné, je poste cet article publié le 14 avril en insistant sur la nécessité d'opposer au sentiment panique ou catastrophique la mobilisation incessante pour vivre libres.