Le blog Horus porte sur l’égyptophilie, l’égyptologie et l’égyptomanie. Mais pas que.
L’actualité, les questions sur la société française, la citoyenneté, la culture y ont leur place.
Maintenant s'y1…
ajoute le " monde des handicapés " que je découvre depuis que je suis devenu paraplégique à la suite d'un accident de la route en janvier 2016.
Plus précisément, la thématique principale liée à l'égyptologie et à l'archéologie se développe en trois séries parallèles :
- Ces objets qui incarnent l’histoire de la Méditerranée,
- L’égyptomanie dans l’art contemporain,
- Lyon-Lugdunum qui traite de la région lyonnaise.
Hildesheim en Basse-Saxe possède un très riche musée égyptien, le second en Allemagne après celui de Berlin. Mais cette institution prestigieuse qui détient de fabuleux trésors est sur le point de fermer ses portes.
L’ours est la mascotte de Berlin depuis des siècles. Cette ville est aussi la première à avoir organisé en 2002 une exposition sur le thème des United Buddy Bears.
Le 6 décembre 1912, l’égyptologue allemand Ludwig Borchardt invente, en toute discrétion, le buste de Néfertiti sur le site des fouilles de Tell el-Amarna. Depuis un siècle, ce buste est devenu l’icône subliminale de l’égyptophilie. Très vite Néfertiti [1] symbolise la femme moderne du début du XXe.
Django unchained de Quentin Tarantino est un film jubilatoire. Il s’avère d’ores et déjà comme son plus grand succès. Mais c’est probablement aussi son meilleur film jusqu’ici.
Ma tante vient de se faire arnaquer par sa banque. Agée de 86 ans, elle vit seule dans un gros village de l’Ardèche. Elle est non imposable. Il y a quelques mois, elle a répondu à un questionnaire parfaitement indiscret de sa banque. Prétextant une enquête demandée par le ministère des finances, on la sommait d’indiquer ses revenus et de détailler son patrimoine. Officiellement il s’agissait de détecter l’argent sale et son blanchiment, pas moins !
Au moment où intervient le deuxième anniversaire du premier jour de la Révolution égyptienne, le 25 janvier 2011, force est de constater que l’Egypte demeure une passion française. Au-delà de l’Egypte moderne et des analyses « géopolitiques » souvent contradictoires, cette attirance et cette fascination reposent sur une tradition nationale ancienne. Mais dans ce courant permanant, quoique fluctuant selon les époques, égyptophilie, égyptologie et égyptomanie se conjuguent.
Le musée des Beaux-arts de Lyon a acquis récemment trois œuvres de Pierre Soulages, appartenant à trois périodes du peintre.Dans la première, « Brou de noix sur papier », de 1947, le noir s’oppose encore à la blancheur du support. Avec la seconde « Peinture 202 x 143 » de 1967, le noir l’emporte sur le blanc confiné à l’état de traces. « Peinture 181 x 244 » de 2009 est un triptyque où l’outrenoir triomphe avec ses somptueux feux de lumière.