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Depuis que le risque de voir les partis d’extrême droite devenir majoritaires à l’Assemblée nationale est devenu possible, il n’est questionque de leur « faire barrage ».
Cela est certes indispensable, mais est-ce suffisant à long terme ?
Poser la question, c’est y répondre ! Mais que faire ? et comment ? pour que cette situation périlleuse pour la démocratie ne se représente plus à l’avenir.
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On connaît l’aphorisme inspiré d’un vers du poète latin Horace : « BIS REPETITA PLACENT » qui exprime que, plus une chose est répétée, plus elle plaît.
Il s’inspire de la pratique de la narration antique des mythes, au cours de laquelle certains détails étaient répétées plusieurs fois. Cette répétition plaisait aux spectateurs car elle leur donnait le sentiment de partager une culture commune.
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Cela fait plusieurs années que la confrontation avec la Chine est une des priorités de tous les dirigeants américains.
C’est vrai sur le plan économique et commercial, sur le plan diplomatique et géopolitique, et même sur le plan militaire.
Si ce sont surtout les tensions au sujet de Taïwan qui ont fait l’actualité, la guerre économique, quant à elle, est engagée depuis le mandat Obama.
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Quand on observe l’évolution de la politique française et internationale, on se demande à juste titre si nous ne sommes pas en train de vivre dans le monde décrit par l’écrivain britannique George Orwell dans son roman dystopique paru en 1949 sous le titre Nineteen Eighty-Four c’est à dire, pour sa version française, « 1984 ».
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Quand on observe l’évolution de la politique française et internationale, on se demande à juste titre si nous ne sommes pas en train de vivre dans le monde décrit par l’écrivain britannique George Orwell dans son roman dystopique paru en 1949 sous le titre Nineteen Eighty-Four c’est à dire, pour sa version française, « 1984 ».
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L’interdiction récente de plusieurs manifestations ou réunions publiques, décidée notamment par voie administrative sous des prétextes sécuritaires, marque le retour d’une forme de censure préventive tombée en désuétude.
Depuis le 19e siècle, cette censure a un nom et une apparence : Anastasie la mégère.
Mais pourquoi Anastasie ?
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Il y a quelques jours, en croisade contre les lapins qui prolifèrent sur sa commune, le maire de Baillargues (Hérault) a scandalisé le parti Animaliste en utilisant les panneaux municipaux d’information pour diffuser la recette du civet.
Personne ne sait s’il s’est inspiré la célèbre « taxe lapin » de Gabriel Attal, sensée lutter contre la multiplication des lapins dans les cabinets médicaux.
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On savait déjà que Macron avait le plus grand mépris pour tous ceux qui ne sont pas, selon lui, les "premiers de cordée" :
des gens de rien, des ouvrières illettrées, des chômeurs incapables de trouver un emploi même en traversant la rue, des assistés coûtant « un pognon de dingue » à la société, …
Mais, depuis plusieurs mois, ce mépris s’accompagne d’une forme de persécution quasi systémique.
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Depuis plusieurs mois, la caste des médiatocrates a décrypté avec sa finesse habituelle les raisons profondes du soutien apporté par Jean-Luc Mélenchon et le mouvement de la France Insoumise aux populations palestiniennes, à Gaza et en Cisjordanie, face aux représailles criminelles décidées par le gouvernement d’extrême droite israélien après les attaques terroristes du 7 octobre 2023.
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Relocalisation, réindustrialisation, réarmement industriel … autant de slogans dans les discours des dirigeants européens qui cachent mal leur impuissance à faire bifurquer leurs politiques économiques, notamment en Allemagne et en France.
Quelques rares pays dénotent pourtant au sein de l’Union Européenne. L’Irlande, bien sûr, pour les raisons fiscales évidentes.
Mais surtout le Danemark.