Le blog de jean françois thomas

Avec les caractéristiques géométriques de la Grande Pyramide je trouve trois dimensions importantes de la cathédrale Notre Dame de Paris, avec le produit de ces trois dimensions et des caractéristiques de la pyramide je calcule le nombre complexe exprimant le cycle galactique du soleil ainsi que la précession de la planète terre et l'espérance vie maximum d'un homo sapiens.

Avec les dimensions de la Grande Pyramide ( Keops ) et la trigonométrie je calcule phi ( nombre d'or ), l'argument du nombre complexe exprimant la vitesse de la lumiére, avec la position en latitude de la pyramide le rayon moyen volumétrique de la terre, puis ensuite la fréquence de la vie et le cycle galactique du soleil.

En utilisant la divine proportion ( phi ) et pi je calcule la valeur de la vitesse imaginaire de la lumière ce qui me permet d'obtenir la distance entre le soleil et le centre de la Voie lactée ainsi que le cycle galactique du soleil. Avec les dimensions de la Grande Pyramide ( Keops) je trouve la vitesse imaginaire de la lumiére et l'argument du nombre complexe vitesse de la lumiére.

Avec les dimensions de la Grande Pyramide je trouve la vitesse imaginaire de la lumière, puis avec une énergie cinétique fonction de pi et cette vitesse imaginaire je déduis la masse moyenne en uranium du corps, avec la relativité restreinte appliquée à la vitesse imaginaire et celle réelle de la lumière, de l'énergie cinétique trouvée et de la distance de Planck je trouve le flux du soleil.

Avec la relativité restreinte appliquée à la vitesse du soleil sur la vitesse imaginaire de la lumière je détermine la fréquence de la vie humaine liée à la fréquence de résonance de la planète terre, fréquence de la vie que je vérifie avec phi ( nombre d'or ) et pi, puis je trouve avec cette fréquence l’espérance vie maximum de l'homo sapiens et le cycle galactique du soleil .

Avec la fréquence de pulsation des neurones du cœur, la puissance moyenne humaine et la vitesse du soleil je calcule la masse moyenne d'uranium dans le corps humain, de cette masse, avec la vitesse complexe de la lumière je trouve l'énergie dissipée par un essai nucléaire français le 12 juin 1971, essai j'ai vu à bord d'un bateau de la Marine .

A l'aide de la vitesse de la lumière complexe, de l'horizon d'un trou noir de Schwarzschild ayant comme masse la masse d'hydrogène dans le soleil, je déduis la distance entre le soleil et le centre de la Voie Lactée notre galaxie puis la circonférence orbitale de la planète terre autour du soleil.

Avec la formule de l'horizon d'un trou noir de Schwarzschild et la masse d'hydrogène dans le soleil je détermine une valeur de la vitesse imaginaire de la lumière que je vérifie avec les dimensions de la Grande Pyramide ( Keops ), ensuite avec l'argument du nombre complexe vitesse de la lumière obtenu je calcule le pourcentage d'énergie noire dans l'univers.

Avec un triangle quelconque avec pour cotés pi, phi et e, dont je calcule la surface, surface qui me permet de calculer le logarithme népérien de la masse actuelle du trou noir au centre de notre galaxie la Voie Lactée et l'énergie dissipée, suivant Einstein, d'un essai nucléaire français ( nommé Encelade ) le 12 juin 1971 à Mururoa.

L'énergie dissipée par l'essai nucléaire français ( Encelade ) du 12 juin 1971 à Mururoa était fonction de la masse du trou noir au centre de la Voie Lactée et de la masse actuelle d'hydrogène à l'intérieur du soleil.