A l’occasion de la Saint-Patrick le 17 mars, que célèbrent les Irlandais d’Irlande et du monde entier, le premier ministre australien, en poste depuis le 18 septembre 2013, chef du parti libéral, Tony Abbott, s’est livré à un pitoyable exercice de démagogie à l’endroit de la colonie irlandaise d’Australie.
Décidément les liens entre les Tories et le petit monde de la haute finance britannique non seulement ne se démentent pas, mais, en plus, sont fort loin de se désagréger.
L’émission de la chaîne britannique Channel 4, Dispatches, programmée pour le lundi 23 février, a déjà provoqué une onde de choc considérable dans le royaume, avant même sa diffusion.
Les élections législatives qui vont se dérouler au mois de mai au Royaume-Uni devraient, si l’on se fie aux plus récents sondages, consacrer le retour au pouvoir du Labour.
Si David Cameron a cru, pendant quelques heures avant la fin de l’année 2014, que la basse attaque de Tony Blair à l’endroit d’Ed Miliband, comme le relate leGuardian du 30 décembre, allait lui donner un petit répit, il s’est lourdement trompé pour trois raisons essentielles.
Tout le monde aura remarqué (c'était quand même difficile de ne pas le voir) comment le dénommé Sarkozy, toujours cité dans neuf affaires judiciaires, a joué des coudes avec indécence, dimanche 11 janvier,
Le chiffre laisse pantois pour une petite ville de 117.000 habitants, presque un quart de la population pour manifester. De la place de la Révolution, également appelée place du Marché, jusqu’à l’esplanade des droits de l’homme devant la mairie, en passant par la place Pasteur et la place du Huit Septembre (date de la libération de la ville, au terme de la seconde guerre mondiale), les habitants de Besançon sont descendus en très grand nombre dans la rue.