Les élections législatives anticipées qui auraient dû sanctionner durement Emmanuel Macron et sa politique ne vont probablement pas permettre un véritable changement. . .
La Vème République vieillit mal. L’avenir de la société française semble soumis au bon vouloir d’un Président extraordinairement narcissique, enfermé dans la bulle de son ego, enfant-roi qui joue au dé avec les institutions et s’adonne au maniement des grenades dégoupillées.
Les Européennes sont passées et le choc est toujours là, bien présent mais aussi en devenir. Un ordre qui n’est pas nouveau mais encore plus implacable se profile à l'horizon, un ordre porteur de grands désordres et de violences.
Une histoire représentative de notre époque et du macronisme en particulier. « Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence ».
Emmanuel Macron s’est défait de tout ce qui est censé donner à un Président la stature d’un homme d’Etat et d’un arbitre au-dessus des partis. Désormais, c'est au nouveau “Front populaire” de tenter de faire échec au grand basculement.
La flamme olympique continue son parcours, son grand tour de France en long, en large, en travers, ne délaissant aucun territoire, y compris les territoires ultra-marins à l’exception notable de la Nouvelle Calédonie, déjà bien trop enflammée. . .
2024, l’année des jeux, mais aussi une année olympique pour le patronat. Derrière la réforme de l’assurance chômage, derrière Total, derrière l’agriculture défendue par la FNSEA, il y a un pouvoir corrompu et un même projet de société.