Mediapart ne parle de l'autisme qu'en relayant les campagnes des professionnels partisans de la psychanalyse. Par quelques articles, et aussi en mettant en valeur les « contes de la folie ordinaire » ou les publications du RAA « HP ». On peut comprendre l'intérêt commercial de cette orientation.
Le but de cette enquête est de mieux connaître les besoins et les problèmes rencontrés par les adultes atteint du syndrome d’asperger ou d’une autre forme d’autisme dans la vie de tous les jours. Après cette enquête, compte tenu des souhaits exprimés, des actions sont proposées.
Cet article présenté par Spectrum News a été à la base du rapport d'Autistica publié précédemment sur ce blog ("Les personnes autistes meurent trop tôt"). Epilepsie, maladies cardiaques et suicides entraînent 2,5 fois plus de morts prématurées. Espérons que les recommandations HAS-ANESM pour les adultes autistes et le 4ème plan autisme prennent en considération ces problèmes graves de santé.
Extraits d'un mémoire de master 2 de Ronan Marteau - Actions Sociales et de Santé - Université de Bretagne Occidentale /
Troisième chapitre - Autisme et parentalité
Extraits d'un mémoire de master 2 de Ronan Marteau - Actions Sociales et de Santé - Université de Bretagne Occidentale
Troisième chapitre - Autisme et parentalité
Annonce du 4ème plan autisme, préparation des recommandations adultes, visites des hôpitaux de jour prévues dans le cadre du 3ème plan : les associations professionnelles de la psychiatrie sont montées à l'attaque, avec l'appui du nanogroupuscule RAA »HP ».
Mediapart apporte sa contribution. Il « dévoile » ce qui faisait l'objet depuis quelques mois d'une campagne d'insinuations. Remarques.
Il croyait enterrer le mythe de la mère-réfrigérateur. Aujourd'hui, en France, des associations professionnelles continuent à considérer les parents comme des adversaires à « contrôler » ou à écarter.
Des extraits de « IN A DIFFERENT KEY - The Story of Autism » par John Donvan et Caren Zucker : "La mère réfrigérateur" et "La faute de Kanner"
Depuis 2012, les CAF considèrent que la PCH aide humaine doit être prise en compte pour le calcul du RSA : sans base réglementaire, sans information des personnes concernées. Cela se traduit par la notification d'indus et la retenue sur les prestations, qui mettent en difficultés extrêmes des parents déjà en précarité.