Chercheurs, cliniciens, soignants et personnes autistes et non autistes ayant une expérience vécue promeuvent la neurodiversité dans la recherche sur l'autisme.
"Spectrum News" présente chaque mois une revue des études ayant des résultats négatifs, qui ne répliquent pas d'autres études. Des résultats, par exemple, suggèrent qu'il n'y a pas de lien entre les infections virales et les troubles neuropsychiatriques
Nicole Sirotek utilise les médias sociaux pour diffuser des informations erronées sur le COVID-19 et les vaccins, et s'en prend à ses collègues infirmières qui tentent de s'y opposer.
"Cela fait maintenant six semaines que j'applique de l'ivermectine liquide sur les pieds et le nombril de ma petite-fille et que je lui écouvillonne les oreilles. Elle se plaint d'une vision floue sporadique et parfois de maux de tête".
Un produit vétérinaire prévu pour les grands animaux est promu aux USA, par une chaîne Telegram. Défendu par les anti-vaxx, il est infligé par des parents à leurs enfants autistes, avec d'énormes effets "secondaires".
Un article du "British Medical Journal" fait le point sur les débats dans différents pays sur l'accompagnement des mineurs présentant une dysphorie de genre, Un article d'actualité.
Un outil d'évaluation diagnostique à distance a été étendue pendant la pandémie. Cela réduit les délais, est accessible dans les milieux ruraux. Une expérience française : Télédiaade à la Réunion.
Le matériel provenant de virus préhistoriques qui s'est retrouvé dans notre génome pourrait contribuer à expliquer le développement de l'autisme lorsqu'il n'y a pas d'autre cause spécifiée. Les séquences des virus qui ont infecté nos ancêtres primates représenteraient 8 % du génome humain.