Le blog de JNSPQD

AFP: Photo de famille, réunion de ministres et hauts fonctionnaires de l'OCDE - Paris  

UPP du 19 mai 2010 à Valence (Drôme) "FRATERNITE, ECOLOGIE POUR UN SOCIALISME D'AVENIR":

"Je ne confonds pas réalisme et fatalisme. Ma gauche est celle qui affronte les réalités, qui ne se résigne pas..."

"Dieu a dit : « je partage en deux, les riches auront de la nourriture, les pauvres de l’appétit »."

Note: Le phrases soulignées ou en gras, le sont de mon propre fait. JNSPQD

   J'ai abandonné sans regrets, à vrai dire plutôt en prenant la poudre d'escampette les forums de Marianne, de Lib, du Nouvel Obs, et cela va sans dire, du Post.fr. Peu à peu, j'ai même abandonné la lecture de ces journaux ou hebdos papier, à l'exception de Marianne.

La Adelita, parce qu'il m'a semblé reconnaître plusieurs d'entre vous dans les images:  mais je reviens avec une autre, aussi très dans le ton.

Sans à priori, je suis profondément d'accord avec le principe qu'ils défendent. Je me sens interpellée par le contenu de l'article publié sur Médiapart par les historiens Madame De Cock et Monsieur Mazeau. :« Les moments historiques, a fortiori ceux qui constituent la mémoire de la République font partie du patrimoine commun. Ils doivent pouvoir être librement utilisés dans le cadre du débat public »J'approuve aussi la fin de cette phrase qui se termine ainsi :« Jusqu'où les femmes et les hommes politiques de droite et de gauche iront-ils dans la marchandisation du savoir et la privatisation du patrimoine national ?"http://www.mediapart.frhttp://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/050410/non-madame-royal-la-fete-de-la-fraternite-n-est

L'on peut se poser la question de ce que serait devenue Danielle sans François... moi, je me pose la question de ce que serait devenu François sans Danielle.   Lorsque j'entends cet individu ordinaire (j'utilise une expression de H Arendt qui me semble convenir), femme atypique, en avance sur son temps, faite d'autant d'incertitudes que de certitudes, de convictions et de confiance en l'avenir pour peu que les hommes et les femmes y mettent en peu d'enthousiasme, je sens, même en hiver, le printemps qui arrive et avec la saison des pousses monter en moi et autour de moi l'espoir et l'inéluctable d'un autre monde possible auquel je crois.