Le blog de Keats

Face au discours de Frédéric Lordon plaidant contre la stratégie d'union , ce texte oppose la mémoire des luttes. De 1936 à 1981, les grandes conquêtes sociales ont été le fruit d'alliances larges et hétéroclites. L'histoire démontre que l'union, loin d'être un reniement, est la condition même du progrès social et des victoires électorales.

Face aux thèses de Pierre Stambul niant l'existence du peuple juif via une quête de "pureté" historique illusoire, notre article démontre que toute identité se construit d'un récit collectif, non d'une lignée pure. Nier ce droit entrave la paix et alimente une logique de domination, méconnaissant l'essence des peuples.

L’ombre du mot « génocide » plane sur Gaza et Israël, interrogeant les limites de la justice internationale. Entre horreur et indignation, cet article explore les violences inouïes des deux camps, du Hamas à l’armée israélienne, dans une spirale de destructions. À l’aube d’un nouvel appel à l’humanisme, où situer les bornes de l’éthique face à l’indicible ?

Le texte critique le slogan "un homme violent n'est pas un bon père", soulignant que la violence conjugale ne signifie pas automatiquement que l'on ne peut pas être un bon parent. L'identité d'une personne ne peut être réduite à son comportement violent, et les auteurs de violence conjugale peuvent être de bons parents dans certaines situations.

Il est si facile de prétendre que la seule rationalité est celle défendu par le pouvoir et les puissants et que tout les autres seraient des "extremistes"

La question des ghettos reste d'actualité dans les quartiers sensibles et seule une réponse sociale peut changer la donne. En réponse à l'article de Maurice Berger paru dans le Figaro : « Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation ».