Faute de subventions pérennes, le festival de poésie Voix Vives qui réunit à Sète, depuis 2010, poètes, éditeurs, musiciens, slameurs, fin juillet, autour de lectures à voix haute en accès libre est menacé de disparaître.

Le danseur Antonio Molina El Choro vient, les 6 et 7 octobre à la Salle Ravel de Levallois Perret, présenter son spectacle "Mi baile".

Le projet de loi d'Aymeric Caron suscite de multiples débats et discussions. Il m'a inspiré quelques observations que je livre ici.

Actuellement le maire de Sète, François Comeinhes, entouré de sa majorité municipale, s'affronte au collectif Bancs Publics, appuyé par des riverains, qui s'oppose à la construction d'un 3e parking, esplanade Aristide Briand, en centre-ville, confrontation de plus en plus tendue. Plusieurs raisons poussent à s'opposer à ce projet.

Au musée Paul Valéry de Sète, « Quatre à quatre » emballant, quatre artistes (deux hommes, deux femmes) d'horizons divers et aux univers radicalement opposés.

Ce second vendredi au festival Flamenco de Nîmes, le programme est chargé : conférence dansée de Fernando López au Carré d'Art, consacrée au Flamenco queer, Hommage à Antonio Gades par Rafael Ramirez au théâtre de l'Odéon, au théâtre Bernadette Lafont la chanteuse Maria Terremoto et fin de fiesta à la bodega Diego Puerta.

Cette troisième journée de festival était celle du vagabondage. Elle rassemblait ces choses si différentes qui font le flamenco.

Ce second soir du Festival, en deux parties, était consacré au "flamenco radical". Niño de Elche ouvrait les hostilités. Tomas de Perrate fermait le ban.

Cette 35e édition du Festival Flamenco de Nîmes ouvre le rideau avec Patricio Guerrero et son ballet de Andalucia pour "Pineda - Romance en tres estampas", d'après l'œuvre de Federico Garcia Lorca.

Les 2 et 3 février, Ester Marino et Niño Seve donnaient deux concerts remarquables en acoustique à Flamenco en France.