Annonces, commentaires et suivi d'événements participant des résistances face au chaos organisé par les puissances en place.
(image : Gwenaëlle d'Azémar, 2018)
Faiblesse du gouvernement qui ne peut gagner qu’en poussant son illégitimité à un extrême où, pour en faire une légalité nouvelle, il lui faudrait risquer un coup d’état.
POUR SIGNER :
http://appel.changerdecap.fr/?fbclid=IwAR00mbfcKlPTke_GCpqAa0-l9T5g6Xoooj4d3pN_ImqDulQCMa_r4tWA38c
ET POUR PARTICIPER :
https://www.facebook.com/groups/20632261059/permalink/10157351910821060/
La violence étant la poursuite de la politique par d’autres moyens et la guerre étant « le moyen extrême » (Clausevitz), théoriquement la guerre apparaît comme la seule solution possible d’un conflit une fois que toutes les négociations ont échoué.
Grâce aux gilets jaunes, on a vu apparaître au grand jour ce qui se fait ordinairement dans les gouvernements en coulisse. Une certaine impatience a fait prendre ces agissements pour une dérive. On s'est cru alors en situation d'exception.
Né en novembre 2018, le mouvement des Gilets Noirs lutte contre le racisme et pour des papiers pour toutes et tous. Il regroupe aujourd'hui 50 foyers d'Ile-de-France et des locataires de la rue, en lutte pour leur dignité. Une cagnotte est en ligne pour les soutenir.
En 51 avant J.-C., Jules César fit couper les mains des derniers de ceux qui lui avaient résisté. Il y eut dix mille mains coupées. Les
Gaulois ne pourraient plus jamais se battre. Un an après Alésia, cela se passait au pied de la colline d’Uxellodunum, près de Vayrac, non loin d'où coule la Dordogne, dans le Lot. Ainsi finit la résistance gauloise dans ce qui allait un jour devenir la France.
Le 6 juillet 2019 marquera le premier anniversaire de la décision du Conseil constitutionnel consacrant la fraternité comme principe à valeur constitutionnelle. Une année où les poursuites et intimidations à l’encontre des solidaires ont gagné en légitimité dans le discours politique, en dépit de la reconnaissance du principe de fraternité.