Le blog de Léo Mira

Un président et des ministres gadgets en quête de légitimité, dans un contexte de chienlit et de chaos.

Après avoir banalisé les mutineries policières, Macron invente le concept de « coup d’État illégitime ».

Que des policiers tuent, mentent et se rebellent contre la justice, sans que le garant de son indépendance et des principes qui régissent l’ordre républicain ne les condamne, fait d’Emmanuel Macron le président du chaos.

Un pouvoir de moins en moins démocratique, dans un État de plus en plus policier.

Dans le contexte de crises que traverse la France, notamment de crise institutionnelle, l’extrême droite est devenue le terreau propice à la survie du macronisme.

« Ceux qui vivent sont ceux qui luttent » (Jean Jaurès)

« Écouter le peuple, c’est entendre ce qu’il veut. » (Emmanuel Macron, octobre 2016)

Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Portugal, Grèce, les conflits sociaux se multiplient en Europe. En France, le pouvoir répond au puissant mouvement social par la provocation et la violence policière.

Le 28 mars à Toulouse, 150 000 personnes dans la rue, des milliers de jeunes et des provocations policières.

Quand le monarque répond à la crise sociale par le mensonge, la provocation et la répression policière.