Je suis podcaster, aspirant journaliste, je vous partage mes autisteries ! La différence est une force et non une maladie ! Je vous parlerai de beaucoup de sujets sans doute ici à la manière d’un billet1…
d’humeur. Mais sachez que j’aimerais que l’on parle plus du handicap et de l’accessibilité dans les médias.
Je voulais réagir à la tentative de suicide probable d'un étudiant qui a fait une « chute » de la passerelle intérieure du campus
Pasteur à Rouen.
Ainsi des propos racistes du professeur Pierre-Antoine Sprimont, responsable du master CCA à l'encontre de l'étudiant de 29 ans en seraient la cause, et devinez quoi ? L’exercice de transparence n’est toujours pas aussi simple.
On va déjà commencer par une réponse, ainsi pour reprendre une formule assez célèbre : Non, le compte n’y est pas, mais finalement là n’est pas tant la question centrale. Est-ce que c’est le handicap où la société qui met un individu en situation d’invalidité? Voici mon vécu.
Aujourd'hui je vous propose un édito,que je vais consacrer au discours de politique générale du premier ministre, discours que le locataire de Matignon prononcera cet après-midi, devant la représentation nationale.
Je me disais qu'il fallait que je réponde à cette interrogation que je vois partout quand on parle de la possible arrivée de l'extrême droite au pouvoir.
La réponse est pourtant tristement assez simple. Ainsi pour comprendre je vous propose de revenir 90 ans en arrière.
Vous êtes éducateurs, ergothérapeutes, kinésithérapeutes psychométriciens, orthophonistes et pardonnez moi d’en oublier.
Sans vous, je ne serai pas debout en train de vous écrire, à vous qui si souvent, souffrez d’un manque de considération criant, même de la part de vos concitoyens. Néanmoins ce film permet de nous plonger pendant une heure trente dans votre «petit truc en plus», votre humanité.
Au lieu de subir, l’humoriste normand a décidé de sourire en décidant de vivre par et pour le rire mais surtout pour transmettre. Quentin a 21 ans est il est atteint des syndromes de Marfan et de Loeys-Dietz. il nous raconte comment la scène est devenue sa pulsion de vie, dont le public est le coeur battant et pour lequel il est toujours debout. Rencontre.
Ils s'appellent Boyard, Bardella, Le Pen, Guiraud, Panot, Tanguy, Mariani et Mélenchon. Certains d'entre eux ont à peine quitté le nid familial, quand d'autres sont en fin de carrière et cherchent désespérément un second souffle. Chez certains, on préfère Poutine. Les autres tournent leur regard vers l'Amérique latine, se rêvant ainsi en Libertador, tel que le fut en son temps Simon Bolivar.