Le premier week-end de mars, plus de 500 activistes pour le climat de Code Rouge se sont rendus dans le port de Gand en Belgique pour dénoncer Cargill, le plus grand négociant de céréales au monde. « L’agro-industrie ne se contente pas de ravager la planète, elle détruit aussi celles et ceux qui la nourrissent ».
Des élu·es et représentant·es des partis du NFP se sont rendus fin janvier au Nord Est de la Syrie. Ils exhortent la France à « faire entendre son soutien à la participation des FDS (Forces Démocratiques Syriennes) aux discussions en cours en Syrie, que le dialogue inter syrien n’exclue aucune communauté et région et se déroule sans ingérence extérieure notamment de la Turquie. ».
Plus de 230 juristes, avocats, juges, et professeurs de droit du monde entier se joignent aux experts et rapporteurs de l'ONU pour qualifier juridiquement les crimes commis à Gaza de « génocide », et rappeler ainsi les obligations légales des États. Ce texte veut contribuer à la préservation du droit international aussi mis en péril à Gaza, afin d'éviter de nouvelles atrocités de masse en toute impunité. « L'histoire enseigne que la paix durable ne peut être construite sans justice. »
Après plus de cinq décennies de tyrannie, de répression féroce et de corruption, le régime assadien est tombé. Un ensemble de signataires syrien·nes propose dans ce manifeste « un ensemble de principes fondamentaux destinés à immuniser la nouvelle Syrie, à encadrer la période de transition et à contribuer à l'établissement du système politique pour lequel le peuple syrien s'est soulevé sous la bannière de la liberté et de la dignité ».
« L’instrumentalisation de la justice pénale des mineur·es à des fins sécuritaires tend à faire oublier l’effondrement de la protection de l’enfance et des moyens qui lui sont alloués ». Un ensemble de professionnel·les du secteur social, éducatif de la justice et des personnalités, appelle à des rassemblements le 12 février pour dire leur opposition à la proposition de loi Attal, examinée à l'Assemblée nationale.
Un ensemble d'informaticien·nes et de scientifiques appellent à l'arrêt des collaborations avec Israël. Ils et elles protestent « contre l'usage croissant de technologies issues de leur discipline à des fins meurtrières, usage tristement illustré par le recours systématique à l'intelligence artificielle pour la planification d'assassinats plus ou moins ciblés à Gaza ».
Alors que les projets pédagogiques et culturels portés par les collèges et lycées soutenus financièrement par la part collective du Pass Culture ne seront pas financés pour cette fin d’année scolaire, des associations et organismes culturels appellent les acteurs culturels à se mobiliser. « La conséquence immédiate est un accès à la culture encore plus inégalitaire et le risque de détruire un maillage territorial qui fait la cohésion de la France. »
« Nous, scientifiques des universités et des centres de recherche français, affirmons avoir une responsabilité collective face à l’histoire. » 500 scientifiques et personnels des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, soutenus par une vingtaine d’organisations, interpellent leurs directions pour condamner les violations multiples du droit international commis par l’État d’Israël. Ils appellent les directions à suspendre toute collaboration ou événement scientifique avec les institutions israéliennes.
Un large ensemble de militant·es et de responsables syndicaux appelle à « renforcer les collectifs unitaires sur le terrain » et exhorte à l'unité pour constituer une alternative politique. « Face à l’extrême droite aux portes du pouvoir, rester sur son quant-à-soi risque de se payer très cher pour tous et toutes. »
« Dans un monde confronté à des défis environnementaux majeurs, un projet extractiviste tel que celui de la carrière de Nouvialle dans le Cantal ne peut plus être envisagé ». Un ensemble de scientifiques, personnalités et citoyen·nes dénonce une menace sur un écosystème rare et appelle « à un sursaut immédiat pour la protection et la restauration de ces écosystèmes fragiles. »