Si la plus grande vertu de la littérature est d’approcher au plus près la réalité au moyen de la fiction, « La carte et le territoire » de Michel Houellebecq touchait, dès 2010, notre société au cœur de ses strates, surpassant toute analyse sociologique ou politique pour atteindre une pensée philosophique débarrassée des afféteries universitaires, des egos médiatiques et de toute métaphysique.
Avec « Décadence », Michel Onfray poursuit sa tentative de vulgarisation de la philosophie de l’histoire en démontant la supercherie religieuse.
Le sous-titre « Vie et mort du judéo-christianisme » résume la thèse.
A l’inverse du pétrole et du charbon, les gisements de phosphore sont très mal répartis sur la planète. Or, l’ONU craint l’ouverture de conflits entre les grandes puissances pour l’appropriation de gisements de phosphate et répondre aux besoins alimentaires de leurs populations.
Le gaspillage éhonté des dérivés du phosphate est emblématique de la prédation humaine sur la nature.
Il arrive, (par mégarde ?) que la presse quotidienne régionale réserve ses colonnes à de belles interventions.
Celle qui suit, sous la plume inspirée de l'écrivain Patrick Tudoret est une critique particulièrement pertinente de la démagogie ambiante en cette période électorale propice à la pire médiocrité.
Retrouver le sens de l'ironie face à la dérision "institutionnelle". Une gageure ?
Longtemps resté intouchable, le philosophe allemand Martin Heidegger est l'objet d'une remise en cause radicale depuis les révélations sur son adhésion aux théories nazies, jusque là considérée comme une simple complaisance.
Matière à débattre de l'enfumage persistant de certains penseurs actuels qui contribuent lourdement à l'atmosphère ambiante.
Porte ouverte à tous les extrêmismes.