Pour faire des économies, François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés. Une mesure présentée comme pragmatique, mais qui en dit long sur les choix politiques de nos dirigeants. Car une fois de plus, ce sont les mêmes qu’on sacrifie : ceux qui n’ont ni fortune, ni pouvoir, ni relais médiatique.
Coup de théâtre au Moyen-Orient : le PKK, ennemi juré d’Ankara depuis plus de quatre décennies, déclare sa propre dissolution. Un geste spectaculaire, censé tourner la page d’une guérilla sanglante. Mais derrière cette annonce, se joue peut-être un tout autre scénario : celui d’une reconfiguration discrète de la cause kurde. Fin d’une ère ou simple changement de costume ?
Lors de l'investiture de Donald Trump, lundi 20 janvier 2024, Elon Musk a fait couler beaucoup d'encre en faisant à deux reprises un salut nazi. Face à cet événement, il devient essentiel de poser la question : jusqu'à quand allons-nous tolérer que des actes aussi graves soient minimisés ou excusés au nom de la maladresse ou de l'excentricité ?
Pendant que la majorité des Français est privée de vie sociale, de restaurants, de bars, et se font verbaliser pour avoir bu une bière en bord de Seine ou pour ne pas avoir respecté le couvre-feu, les plus fortunés, parmi eux des ministres, déboursent des centaines d'euros pour des dîners, des cocktails dans des lieux clandestins très chics où les gestes barrières ne sont pas respectés.
Alors que la France est en sursis face à un reconfinement national, Emmanuel Macron s'est laissé 48 heures pour voir si les mesures récemment prises ont un effet sur l'épidémie. La gestion de la crise sanitaire se résume finalement à la volonté d'un seul homme, qui se dit pourtant contre le présidentialisme français.
Le gouvernement français a fait appel à plusieurs boîtes de conseil, notamment McKinsey & Company, pour l'accompagner dans la gestion de la crise de Covid-19. Une pratique justifiée par l'État pour pallier le manque de fonctionnaires. Sauf que McKinsey est à l'origine des politiques d'austérité et de suppressions d'emploi dans la fonction publique.
Mercredi 28 octobre, Emmanuel Macron a annoncé le retour du confinement, avec cette fois-ci, un changement de taille : les enfants doivent se rendre à l'école, tandis que la majorité des salariés doivent poursuivre leur activité. Mais d'autres, au contraire, en sont privés, mettant en péril leur situation économique et financière.
Face à la crise sanitaire qui touche l'Hexagone, la loi relative à l'Etat d'urgence sanitaire semble légitime. Mais si le citoyen manque de vigilance, les mesures de lutte contre la pandémie pourraient menacer ses libertés fondamentales.
Tous les jours, les médias diffusent leur lot de mauvaises nouvelles, en oubliant parfois les bonnes. Ces "bonnes nouvelles" méritent pourtant qu'on s'y attarde, pour une seule raison : garder le moral.
Depuis le début de la pandémie du Covid-19, l'Etat français semble appliquer les mesures prises par le gouvernement espagnol sur son territoire. Fermeture des écoles, des restaurants et des bars, confinement... Autant de points communs qui laissent penser que la France va prolonger le confinement pour 15 jours de plus, comme l'a fait ce dimanche 22 mars, le Premier ministre espagnol.