Lucy Embark
Journaliste indépendante
France
Sa biographie
Ce blog, c’est ma façon de parler du monde tel qu’il va... ou pas. De politique, de société, de ce qui se passe loin ou juste au coin de la rue. De tout ce qui fait grincer, réfléchir, espérer.
Je suis journaliste, mais surtout citoyenne. J’ai envie de creuser, de comprendre, de vous embarquer avec1…
moi pour décrypter l’actu sans langue de bois, poser les bonnes questions, bousculer les évidences. Pas de bullshit, pas de buzz à tout prix. Juste des sujets qui comptent vraiment dans nos vies.
Parce que s’informer, c’est résister.
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- suivie par 32 abonnés Confiné dans le monde. Comment ça va ?
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Fériés supprimés, justice sociale enterrée
Pour faire des économies, François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés. Une mesure présentée comme pragmatique, mais qui en dit long sur les choix politiques de nos dirigeants. Car une fois de plus, ce sont les mêmes qu’on sacrifie : ceux qui n’ont ni fortune, ni pouvoir, ni relais médiatique. -
Dissolution du PKK : fin de la lutte armée ou mue stratégique ?
Coup de théâtre au Moyen-Orient : le PKK, ennemi juré d’Ankara depuis plus de quatre décennies, déclare sa propre dissolution. Un geste spectaculaire, censé tourner la page d’une guérilla sanglante. Mais derrière cette annonce, se joue peut-être un tout autre scénario : celui d’une reconfiguration discrète de la cause kurde. Fin d’une ère ou simple changement de costume ? -
Salut nazi : à quand la fin des excuses pour Elon Musk ?
Lors de l'investiture de Donald Trump, lundi 20 janvier 2024, Elon Musk a fait couler beaucoup d'encre en faisant à deux reprises un salut nazi. Face à cet événement, il devient essentiel de poser la question : jusqu'à quand allons-nous tolérer que des actes aussi graves soient minimisés ou excusés au nom de la maladresse ou de l'excentricité ? -
Les riches organisent des fêtes clandestines quand le peuple en est privé
Pendant que la majorité des Français est privée de vie sociale, de restaurants, de bars, et se font verbaliser pour avoir bu une bière en bord de Seine ou pour ne pas avoir respecté le couvre-feu, les plus fortunés, parmi eux des ministres, déboursent des centaines d'euros pour des dîners, des cocktails dans des lieux clandestins très chics où les gestes barrières ne sont pas respectés. -
La gestion de l'épidémie résume l'hyper-présidentialisme de Macron
Alors que la France est en sursis face à un reconfinement national, Emmanuel Macron s'est laissé 48 heures pour voir si les mesures récemment prises ont un effet sur l'épidémie. La gestion de la crise sanitaire se résume finalement à la volonté d'un seul homme, qui se dit pourtant contre le présidentialisme français.