Le blog de Marc Vidal31

Cette partie du journal décrit la situation pendant les années qui suivent mon retour à Toulouse (98-2000 pour l'essentiel). C'est un long document qui décrit comment le quotidien peut être envahi et parasité par des pressions anonymes. Le chaos politique de l'été 2024 m'a conduit à différer cette publication.

Dernière partie de mon  journal sur ma période de d'enseignant détaché dans l'armée, au sein de FFA (Forces françaises en Allemagne), à Baden-baden. Mais ce n'est que le début d'une autre histoire.

Vu de l'extérieur, il ne s'est rien passé de notable à la fin de l'année scolaire. La situation va évoluer brutalement. Quelques mois de plus d'effarement et d'incompréhension.

Les enseignants font un métier plus risqué qu'on ne le croit. Mais dans la Grande Muette, tout est encore plus risqué.

Ce journal intime raconte la vie dans un collège sous contrôle militaire et comment se prépare la déflagration qui concernera les services d’espionnage français et qui fera l’objet des cinq prochaines parties publiées à raison d’une par semaine.

Quelle est cette affaire d'Etat qui a eu lieu à Baden-Baden ? Que vont contenir les billets de ce blog dans les semaines à venir ? Ce premier billet publié depuis 2017 est une présentation des événements jamais éclaircis qui se sont déroulé dans le lycée français situé en Allemagne, à Baden-Baden.

Dans le cadre de la lutte anti-terroriste, le gouvernement octroie des moyens supplémentaires considérables à l'action administrative des services de renseignement, services vraiment très spéciaux. A l'augmentation des moyens doit correspondre au plus vite l'augmentation des contrôles. Qu'en pense Mme Braun-Pivet, présidente de la Délégation parlementaire au renseignement (DPR) ?

Dans ce billet j'explique d'où vient mon intérêt pour les services de renseignement à partir de mon expérience vécue au lycée militaire de Baden Baden (RFA). Presque 20 ans plus tard, les événements ont gardé tout leur mystère.

Le statut du lanceur d’alerte évolue petit à petit dans certains domaines, tels que la finance ou la santé. On reconnaît de plus en plus le rôle positif que jouent ces hommes et femmes décidés à dénoncer ce qui est contraire aux lois ou à l’éthique. Pourtant on imagine peu le coût à payer pour le lanceur d’alerte.